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« Jules Malou (1810-1870) », par le baron de TRANNOY

(Bruxelles, Dewit, 1905)

 

TABLE DES MATIERES

 

(Remarque : le contenu de la table des matières repris ci-dessous est celui qui avait été initialement établi par le baron de TRANNOY. Une table des matières adaptée, moins détaillée, est disponible ici)

 

PREFACE DE M. WOESTE, MINISTRE D’ETAT (page V)

 

AVANT-PROPOS (page XIII)

 

CHAPITRE Ier.  - LA JEUNESSE DE JULES MALOU (De 1810 à 1831)

Pierre-Antoine Malou (page 1)

Pierre Malou-Riga (1753-1827), échevin d’Yprcs, général de l’armée brabançonne, délégué à la Convention, séminariste, Jésuite, missionnaire aux États-Unis (page 2)

Jean-Baptiste Malou-Vandenpeereboom ; sa femme ; leurs enfants ; naissance de Jules Malou, le 15 octobre 1810 (page 7)

Education familiale à Ypres (page 8)

Politique scolaire du gouvernenient hollandais ; Jean-Baptiste et Jules Malou sont envoyés au collège de Saint-Acheul (1825) (page 9)

Trois ans à Saint-Acheul (page 10)

Les ordonnances du 15 juin 1828 ; fermeture de Saint-Acheul ; regrets des élèves ; le P. Loriquet (page 11)

En route pour Fribourg ; le collège des Jésuites ; quelques rimes (page 12)

Insubordination ; menaces d’expulsion ; lettres de M. Malou Vandenpeereboom ; il part pour Frihourg (page 17)

Application de Jules Malou à la philosophie ; « Vous craignez le noviciat pour moi » (page 21)

Retour à Ypres pendant la révolution de 1830 (page 23)

Amitié de Jean-Baptiste et de Jules Malou (page 24)

Jean-Baptiste Malou. Sa vocation, le sacerdoce,le professorat, l’épiscopat (page 25)

 

CHAPITRE II. - L’UNIVERSITÉ. - LE STAGE. - LES DEBUTS ADMINISTRATIFS (DE 1831 A 1841)

Jules Malou est reçu candidat en philosophie et lettres à l’université de Liége (novembre 1831) (page 27)

Un étudiant de 1831 ; l’esprit d’irréligion ; les condisciples (page 28)

Ardeur au travail : délassemenis : botanique, musique, peinture (page 29)

Docteur en droit avec la plus grande distinction (page 30)

Le stage au barreau de Bruxelles (page 31)

Influence des idées de Lamennais (page 32)

Jules Malou entre au ministère de la ustice, en qualilé de chef de bureau (avril 1836) ; il refuse une chaire de droit criminel ; son mariage avec Mlle Delebecque (p 33)

Les débuts administratifs ; « Vous pouvez faire mieux ! » (page 35)

La question du duel ; la discipline du Barreau ; les condamnés libérés ; la successibililé des étrangers (page 36)

Chef de division (mai 1837) (page 39)

Refus d’une candidature à la Chambre (page 40)

Retraite de M - Ernst, ministre de la justice ( février 1839), Notice biographique, par Jules Malou (page 42)

M. Raikem succède à M. Ernst ; Malou refuse de devenir procureur du roi à Gand (page 45)

M. Leclercq succède à M. Raikem ; Malou est promu à la direction de la législation et de la statistique (13 octobre 1840) (page 46)

 

CHAPITRE III. - LES DEBUTS POLITIQUES - L’UNIONISME (Juin 1841-septembre 1844)

Êtat politique général ; le ministère libéral homogène du f8 avril 1840 ; M. Devaux et la Revue nationale (page 48)

Les catholiques et l’unionisme ; le ministère J -B. Nothomb (15 avril 1841) (page 51)

A Ypres ; les élections de juin 1841 (page 52)

Incident ministériel propos de la candidature de Jules Malou (page 53)

Les mandats impératifs ; Malou élu (page 55)

La Chambre en 1841 : le comte de Theux, le comte de Mûelenaere, le comte Félix de Merode, MM. Dumortier, de Decker, Dechamps (page 57)

Malou prend place parmi les unionistes catholiques. (page 60)

La gauche : MM. Delfosse et Verhaegen ; MM. Devaux, Lebeau et Rogier (page 61)

Les unionistes libéraux, M. J.-B. Nothomb (page 62)

Examen de la proposition de MM. du Bus et Brabant tendant à conférer à l’université de Louvain la qualité de personne civile (page 63)

Intervention diplomatique ; Mgr Fornari (page 64)

Nouvelle brochure de Malou sur le retrait de la proposition (page 66)

Les Lettres sur les affaires du temps à M. le directeur de la Revue Nationale; polémique et droit constitutionnel (page 67)

Pourquoi Malou ne devint pas secrétaire général du ministère de la justice (page 77)

Les « lois réactionnaires » : la loi sur la nomination des bourgmestres et les amendements Malou ; l’attitude de M. Nothomb (page 79)

Les fraudes électorales ; nouveaux amendenents Malou (page 82)

Malou et la loi de 1842 sur l’enseignement primaire (page 84)

Incompatibilité de fait entre les fonctions administratives et le mandat législatif (page 85)

Malou démissionne à l’occasion de la loi sur les jurys d’examen ; l’incident Dechamps (page 87)

Jugement de M. Ernest Vandenpeereboom (page 90)

 

CHAPITRE IV. - LE GOUVERNEMENT DE LA PROVINCE D’ANVERS. (Septembre 1844 à juillet 1845)

Importance des élections d’Anvers (page 92)

M. Nothomb offre à Malou le gouvernement d’Anvers (page 93)

Instances de M. Dechamps ; Malou accepte (page 94)

Le gouverneur d’Anvers et la politique générale (page 95)

Discours du baron Osv et de M. Dumortier contre M. Nothomb (page 96)

Premier discours politique de Malou (page 101)

Les élections du 10 juin 1845 à Anvers (page 104)

Formation des listes ; la campagne électorale (page 105)

Succès de la liste libérale ; crise ministérielle (page 108)

La session du Conseil provincial (page 110)

La compétence des Conseils provinciaux en matières politiques générales (page 110)

Malou et l’emploi de la langue flamande (page 113)

Malou quitte Anvers aprés dix mois (page 114)

 

CHAPITRE V. - LE MINISTERE VAN DE WEVER. MALOU, MINISTRE DES FINANCES (Juillet 1845-mars 1846.)

Formation du ministére du 3ejuillet 1845 ; rôle passif de M. Van de Weyer (page 116)

Malou accepte, avec réserves, le portefeuille des finances (page 117)

Le ministére est vivement combattu par les libéraux (page 118)

L’incident des « Six Messieurs Malou » (page 120)

Succès ministériel ; enthousiasme des unionistes (page 121)

Malou dans le ministère de 1845 (page 123)

La crise alimentaire ; opportunisme économique de Malou (page 124)

Les entrepôts francs ; raffineurs et sucriers (page 126)

Loi sur la comptabilité générale de l’Etat (page 127)

Loi d’organisation de la Cour des comptes ; l’affaire Habets (page 128)

Dissentiment dans le ministère au sujet de l’enseignement moyen (page 130)

Démission collective ; rembarquement de M. Van de Weyer (page 132)

 

CHAPITRE VI. - LES « SIX MALOU ». - LE PLAN FINANCIER DE 1847 (Mars 1846- août 1847.)

Projet d’un ministère des grandes villes ; M. Rogier (page 134)

Le Roi charge le comte de Theux de constituer un ministére (page 136)

Malou conserve les Finances ; douloureux moments (page 137)

Malou est violemment pris à partie. Le Congrès libéral (page 138)

La crise alimentaire de 1846 ; intervention de l’État (page 139)

Activité législative de Malou (page 141)

Triple proposition soumise par Léopold Ier à ses ministres (page 142)

Réorganisation de l’administration des finances (page 143)

La crise financière des années 1846 et 1847 (page 144)

Causes générales ; causes spéciales ; le Congrès libéral, etc. (page 145)

Inquiétude du Roi ; Note au Roi sur la situation financière (page 146)

Programme financier de Malou : trilogie de réformes (page 149)

Réformes immédiates ; accroissement de la circulation métallique (page 149)

La fabrication de monnaie d’or (page 150)

Exposé de la situation financière de la Belgique (27 juillet 1847) (page 152)

L’Exposé jugé par la presse libérale (page 155)

La genèse du projet d’assurance obligatoire par l’Etat de toutes les propriétés (page 156)

La commission spéciale ; l’avant-projet de la commission (page 158)

La question de la suppression des Compagnies existantes (page 160)

M. Frère-Orban, devenu ministre des finances, rejette le projet (page 161)

Celui-ci conserve des partisans La situation du trésor au 1er septembre 1847, d’après M. Veydt, ministre des finances (page 164)

Boni ou déficit ? Justification de la dette publique. Résumé (page 165)

 

CHAPITRE VII. - LA CRISE DE 1848

Les élections de juin 1847. Lettres électorales (page 169)

Le ministère du 12 août 1847 ; la politique nouvelle ; attitude des unionistes (page 171)

Matou et la jurisprudence de M. de Haussy (page 173)

Remaniements à la loi de 1842 sur la nomination des bourgmestres (page 174)

L’opposition et les événements de 1848 ; crise financiére (page 175)

Malou appuie l’émission de papier-monnaie (page 177)

Il combat l’emprunt forcé (page 179)

La Société Générale et la crise de 1848 ; immobilisation imprudente des capitaux (page 180)

Recours à I’Etat pour l’émission des billets à cours forcé (page 182)

Intervention de Malou à la Chambre, en faveur de la Société Générale (page 183)

Loi sur les incompatibilités parlementaires (page 186)

Malou, rapporteur, est partisan de l’extension de l’incompatibilité (page 187)

 

CHAPITRE VIII. - LES ELECTIONS DE 1848 ET 1850. - LA POLITIQUE FINANCIERE DU MINISTERE ROGIER-FRERE ET L’OPPOSITION (1848-1850)

Les élections de juin 1848. Effacement des catholiques (page 191)

L’élection d’Ypres ; échec de Malou (page 192)

Malou est nommé directeur à la Société générale (page 194)

Les Lettres financières (page 195)

La Banque Nationale ; idées de Malou (page 197)

Les élections de juin 1850 ; l’élection de Bruges (page 198)

Malou, candidat à Ypres et à Anvers ; il est élu à Ypres (page 200)

L’opposition et les projets financiers de M. Frère (page 201)

Malou combat le projet d’une Caisse de crédit foncier (page 202)

L’impôt sur les successions en ligne directe est combattu par Malou (page 204)

La politique libre-échangiste. Malou conclut à l’ajournement du traité belgo-hollandais (page 207)

Caractère de l’opposition de Malou ; il prête parfois son appui au ministère (page 209)

 

CHAPITRE IX. - LES JOURNAUX BELGES DE 1830 A 1842. - LE RELEVEMENT DE LA PRESSE CONSERVATRICE - LE MANIFESTE CONSERVATEUR ET LES ELECTIONS DE JUIN 1852

Les origines de la presse conservatrice (page 212)

Notice statistique sur les journaux belges (1830-1842) (page 214)

Le chevalier Stas fonde, le 1er janvier 1841, le Journal de Bruxelles (page 221)

L’Emancipation, dirigée par MM. A. et N. Briavoinne (page 222)

Le comte Félix de Merode et l’Émancipation (page 223)

Jules Malou et son frère l’Évêque de Bruges, entreprennent de relever la presse conservatrice (page 224)

Vaines tentatives de rachat du Journal de Bruxelles (1847- 1851) - La Revue de Bruxelles (page 225)

Négociations en vue du rachat de l’Émancipation (page 227)

La Société pour le progrès de la presse conservatrice (page 229)

Rachat de l’Emancipation ; les droits de M. Dumortier (1852) (page 232)

L’Emancipation et l’Echo de Bruxelles ; nouvelles difficultés (page 233)

M. J.-B. Coomans reprend l’Emancipation (1854) (page 235)

Fusion de l’Émancipation et du Journal de Bruxelles (1859). M. Paul Nève (page 236)

Défaut d’organisation des catholiques (page 237)

Malou rédige le premier manifeste conservateur (1852) (page 239)

Tous les membres de la droite de la Chambre le signent ; M. B. Dumortier seul s’y refuse (page 242)

Les élections de juin 1852 ; « léthargie politique » des catholiques (page 244)

Action impulsive de Malou ; son rôle politique en 1852 (page 245)

 

CHAPITRE X. - LE MINISTERE DE BROUCKERE-PIERCOT. - LE RETOUR DES CONSERVATEURS A L’UNIONISME (31octobre 1852-22 mars 1855)

Retraite du ministère du 12 août 1847 (p ; 248)

Un ministère centre gauche parait seul possible (page 250)

Opinion de Malou sur la dissolution des Chambres (page 251)

La présidence de la Chambre : M. Delfosse ou M. Delehaye (page 253)

Les industriels gantois et M. Delehaye (page 254)

Election de M. Delfosse ; constitution du Cabinet de Brouckerc-Piercot (page 255)

Retour des conservateurs à l’unionisme (page 257)

Lettre de Malou à M. de Decker sur la politique d’union (page 258)

L’Esprit de parti et l’Esprit national, par P. de Decker (page 260)

Malou et la politique de M. de Brouckere (page 262)

La politique commerciale ; la répression des délits de presse (page 263)

Les élections de juin 1854 (page 264)

Lettre du Comte de Mûelenaere à Malou sur la question ministérielle : un cabinet de fonctionnaires (page 266)

Retraite du ministère de Brouckere-Piercot (page 268)

 

CHAPITRE XI. - LE MINISTERE ET L’EPISCOPAT DANS LA QUESTION DE L’ENSEIGNEMENT MOYEN. - LA CONVENTION D’ANVERS. (De 1850 à 1854.)

La loi du 1er juin 1850 sur l’enseignement moyen (page 269)

Refus du concours du clergé à l’exécution de la loi (page 272)

Tentative conciliatrice de M. Liedts, gouverneur du Brabant (page 274)

Le ministère de Brouckere-Piercot et l’application de la loi (page 275)

Débat à la Chambre ; Malou et l’Etat enseignant ; réplique à M. Devaux (page 277)

Mgr Malou et la loi du juin 1850 (page 283)

Négociations entre le ministère et l’épiscopat (page 285)

Un ministre libéral, M. Piercot, à la réunion des Évêques (page 287)

Nouvelles négociations ; intervention de Mgr Gonella. (page 288)

La convention d’Anvers (page 289)

L’attitude des ministres ; l’attitude de l’épiscopat (page 294)

 

CHAPITRE XII. - L’UNIONISME DE M. DE DECKER (1855-1857)

M. de Decker ; le dernier ministère unioniste (page 296)

L’affaire Brasseur et les mandements épiscopaux (page 300)

L’affaire Brasseur devant la Chambre (page 304)

L’extradition pour délit politique (page 307)

Malou soutient le projet du gouvernement (page 308)

 

CHAPITRE XIII. - LE PROJET DE LOI SUR LES ETABLISSEMENTS DE BIENFAISANCE. LES JOURNEES DE MAI 1857

La législation des fondations de bienfaisance (page 312)

La jurisprudence de M. de Haussy (page 314)

Proposition Dumortier ; le projet Faider (page 316)

Le projet Nothomb (page 318)

Les préludes du débat parlementaire les polémistes Jean Van Damme ; Mgr Malou (page 319)

Malou, rapporteur de la section centrale (page 321)

Le rapport sur le projet Nothomb (page 322)

Discours sur la charité ; défeuse des jésuites (28 avril 1857) (page 331)

Dernières escarmouches : une association libre de bienfaisance (page 339)

Lenteurs calculées de l’opposition ; la droite demande la clôture du débat (page 341)

Le vote du 27 mai (page 343)

Émeutes des 27 et 28 mai (page 344)

Le roi Léopold Ier ; le conseil des ministres (page 345)

Renvoi du projet à la section centrale, ajournement des Chambres ; un article de l’Émancipation (page 347)

 

CHAPITRE XIV. - LA REUNION DES SOIXANTE. - M. DECHAMPS A ROME. - RETRAITE DU MINISTERE (1857)

Désarroi des catholiques (page 349)

Réunion des « soixante » chez le comte de Merode-Westerloo (page 351)

Malou préconise le retrait du projet ; un billet de M. Van Praet (page 351)

M. Dechamps et la délégation des soixante auprès des ministres (page 353)

Le rapport au Roi ; ajournement du projet de loi (page 354)

Mécontentement dans la presse conservatrice ; nouvelle réunion des soixante (page 355)

« Je suis réduit à écrire mon apologie ! » (page 356)

Mission de M. Dechamps à Rome (page 358)

Lettre de M. Decharnps à M. de Decker ; approbation de la politique préconisée par Malou (page 358)

Les élections communales du 17octobre 1857 (page 361)

Retraite du ministère de Decker (page 362)

Avènement inattendu d’un ministère libéral ; « la promesse de résoudre la question d’Anvers a élé la cause déterminante » (page 363)

 

CHAPITRE XV. - LE MANIFESTE ELECTORAL DE 1857 - L’ASSOCIATION CONSTITUTIONNELLE CONSERVATRICE (6 février 1858.)

Dissolution de la Chambre des représentants (10 novembre 1857) (page 365)

Malou combat un projet d’abstention aux élections ; il rédige le manifeste électoral (page 367)

M. Deehamps, découragé, renonce à lutier à Charleroi ; il préconise l’abstention générale des catholiques (page 372)

Il refuse de signer le manifeste elertoral ; intervention résolue du P. Dechamps (page 376)

Réponses de M. Rogier et de M. Devaux au manifeste conservateur (page 378)

Préparation hâtive aux élections du 10 décembre 1857 (page 379)

La situation à Charlerci, à Gand, à Bruxelles ; l’élection d’Ypres ; débâcle générale des conservateurs (page 380)

Nécessité d’un organisme central pour les Conservateurs ; les hésitants (page 383)

L’Association constitutionnelle conservatrire d’Anvers (page 384)

Evolution du libéralisme ; l’élection de M. De Fré (page 385)

Réunion des conservateurs, le 22 décembre 1857 (page 385)

Malou et le comité provisoire un projet de M. Jean Moeller (page 386)

Assemblée des conservateurs, le 6 février 1858, en l’hôtel du comte de Merode-Westerloo (page 386)

Fondation d’une Association constitutionnelle conservatrice (page 387)

Le programme et les statuts de l’Association (page 388)

Echec et liquidation après cinq ans (page 392)

 

CHAPITRE XVI. - LES PREMIERS ACTES DU MINISTERE ROGIER-FRERE ET L’OPPOSITION. (du 10 novembre 1857 aux élections de juin 1859.)

Situation difficile du ministère ; mécontentement des libéraux avancés (page 393)

La question des fortifications d’Anvers (page 394)

Le vote du 4 août 1858 (page 395)

Lettre à M. Dechamps sur la question militaire (page 396)

« Quelques réflextons sur le vote du 4 août » (page 400)

Malou propose le vote au chef-lieu de canton (page 403)

Son opinion sur le fractionnement des collèges électoraux (page 405)

Rejet d’un amendement Malou, relatif au mode de voter (page 406)

Le Code pénal et les ministres des cultes (page 407)

L’Evêque de Bruges est hostile à toute disposition exceptionnelle (page 408)

Malou promet de s’abstenir ; Mgr Malou lui rend sa parole (page 409)

Malou propose un amendement qui n’est pas adopté (page 410)

Les élections de juin 1859 (page 412)

L’élection d’Ypres ; échec inattendu de Malou au ballottage (page 413)

Regrets de ses amis (page 416)

 

CHAPITRE XVII. - LA SOCIETE GENERALE. - LA QUESTION MONETAIRE. - L’EMPRUNT ROMAIN

« Notice historique sur la Société Générale » (1863) (page 418)

Malou, directeur à la Société Générale (page 422)

La crise monétaire ; projet de la Commission monétaire (page 425)

La question monétaire ; Malou propose un moyen terme (page 429)

« De l’adoption légale de l’or français » (page 431)

Malou et le baron Cogels ; l’esprit sauve l’amitié (page 432)

« Extrait des mémoires inédits d’une vieille pièce de vingt francs » (page 433)

L’opportunisme de Malou en matière monétaire (page 435)

L’emprunt romain ; Malou s’occupe de l’émission (page 437)

Il proteste au Sénat contre la reconnaissance hâtive du royaume d’Italie (page 438)

 

CHAPITRE XVIII. - L’ELECTION DE SAINT-NICOLAS. - LE SENAT

L’Association constitutionnelle conservatrice en liquidation ; le Journal de Bruxelles et l’Emancipation en déficit (page 440)

Découragement de Malou ; « Confession politique » (page 441)

Un projet de Mgr Malou (page 446)

Une candidature sénatoriale est offerte à Malou par le Comite conservateur de Saint-Nicolas (page 447)

La mystification de Saint-Nicolas. Election de Malou (4 février 1862) (page 448)

Malou n’assiste pas au Congrès de Malines (page 449)

Motifs de cette abstention (page 449)

Le Sénat ; le baron d’Anethan et la droite du Sénat (page 452)

M. Malou-Vandenpeereboom au Sénat ; sa mort (6 février 1862) (page 454)

La politique de M. Frère et la droite sénatoriale (page 455)

 

CHAPITRE XIX. - LA CRISE MINISTERIELLE DE 1864. - LE PROGRAMME DE M. DECHAMPS

Les élections de juin 1863 ; succès des conservateurs (page 458)

L’élection de Bruges (page 460)

Le ministère démissionne le 14 janvier 1864 (page 460)

Malou déclare que le moment n’est pas venu pour la droite d’accepter le pouvoir (page 461)

La gauche refuse également le pouvoir première phase de la crise ministérielle (page 463)

Mort de Mgr Malou, le 23 mars 1864 (page 464)

L’Évêque de Bruges (page 464)

L’Évêque de Bruges et Jules Malou ; dernières lettres (page 467)

Lettre du cardinal Pitra à Jules Malou (page 470)

Seconde phase de la crise ministérielle ; le Roi fait appel à M. Dechamps (page 471)

Le programme de M. Dechamps (page 472)

Malou, intermédiaire entre le Roi et M. Dechamps (page 473)

Modiftcations au programme de M. Dechamps ; lettre de Malou à M. Van Praet (page 474)

Le Roi n’agrée pas le programme de M. Dechamps (page 477)

Opinion de Malou, de M. Dcechamps, du baron d’Anethan (page 477)

Les catholiques ne voulurent-ils pas le pouvoir ? (page 478)

La question ministérielle devant la Chambre ; lettre de Malou à M. Dechamps (page 479)

La question ministérielle devant le Sénat (page 481)

Dissolution de la Chambre ; échec de M. Dechamps à Charleroi (page 483)

 

CHAPITRE XX. LES BOURSES D’ETUDES - LA MAINMORTE - LES CIMETIERES

La Caisse générale d’épargne et de retraite Malou préconise la limitation du montant des dépôts (page 484)

Premières atteintes à la liberté des fondations de bourses d’études (page 486)

Malou soumet à M. Faider le projet d’une fondation (1853) (page 487)

Le discours du Trône de 1861 ; dépôt d’un projet de loi (page 488)

Entretien de Malou avec Léopold 1er ; note au vicomte de Conway (page 489)

Le projet de loi devant le Sénat (page 493)

« Quelques chiffres officiels sur la mainmorte en Belgique en décembre 1864 » (page 495)

Réponse à un correspondant de l’Indépendance (page 497)

La question des cimetières ; le décret du 23 prairial an XII (page 499)

Discours au Sénat sur la question des cimetières (18 août 1864) (page 500)

Déclaration de M. A. Vandenpeereboom (mars 1865) ; amendement de la droite sénatoriale (page 503)

 

CHAPITRE XXI. - M. BARA ET LA DROITE DU SENAT

M. Bara devient ministre de la justice (13 novembre 1865) (page 505)

Il soutient le projet de loi sur la mise à la retraire des magistrats (page 506)

Le projet est combattu au Sénat par le baron d’Anethan et Malou (page 507)

« M. Malou est le père de la loi actuelle ! » (page 508)

Le directeur de 1840, le représentant de 1842 et le sénateur de 1867 (page 509)

Rejet par le Sénat du budget de la justice (page 512)

Malou défend, contre M. Frère, les droits du Sénat (page 513)

Le projet de loi sur le temporel des cultes (page 516)

Lettre des Évêques au comte de Theux ; lettre de Malou à Mgr Faict (page 517)

Les propositions transactionnelles de M. Delcour ; lettre de M. Delcour (page 518)

La Chambre vote le projet transactionnel (loi du 4 mars 1870) (page 520)

La thèse de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, soutenue par MM. Bara et Frère-Orban, combattue par Malou (page 521)

« Le temporel des cultes et les rapports constitutionnels entre l’Etat et les Eglises en Belgique » (page 525)

Le Sénat refuse de voter l’abolition radicale de la contrainte par corps (page 528)

Malou défend, à nouveau, les droits contestés du Sénat (page 528)

M. Bara essaye de l’intimidation ; opposition de Malou (page 530)

Un débat sur les prérogatives du Sénat à propos de protêts (page 531)

M. Frère-Orban et la droite du Sénat (page 533)

Nouvel incident ; réplique de Malou à M. Bara (page 535)

Autoritarisme gouvernemental ; « Nous sommes le Sénat observateur ! » (page 537)

 

CHAPITRE XXII. - « NOTICE HISTORIQUE SUR LES FINANCES DE LA BELGIQUE » - ETUDES SUR LES CHEMINS DE FER BELGES

« Notice historique sur les finances de la Belgique (1831-1865) (page 539)

Malou considère la statistique comme une « physiologie sociale » (page 542)

« Etude sur les chemins de fer belges » (1860) (page 543)

Les origines du réseau belge. Les recettes (page 545)

« Dix lettres sur les chemins de fer de l’Etat belge » (1867) (page 549)

Malou, partisan de l’unification du réseau ; M. Masui (page 551)

« Encore cinq lettres sur les chemins de fer de l’Etat belge » (1867) (page 552)

« Tarif des voyageurs. Étude statistique d’une expérimentation » (1869) (page 554)

La neutralisé de la Belgique et la cession des chemins de fer belges à des compagnies étrangères (page 555)

 

CHAPITRE XXIII - LES LOIS ELECTORALES. - RETRAITE DU MINISTERE LIBERAL (1870)

Malou et la répression des fraudes électorales (page 559)

« Les cabarets » (1867) ; les cabaretiers électeurs (page 561)

- Les transports d’électeurs et les diners électoraux, les ballottages (page 565)

Le gouvernement soumet au Sénat un projet de loi électorale (1870) (page 568)

Malou et le suffrage universel (page 569)

Retraite du ministère liberal ; un ministère conservateur est constitué le 2 juillet 1870 (page 571)

Malou, nommé ministre d’État, rentre dans la politique active (page 571)

La troisième période de sa vie politique s’étend de 1870 à 1886 (page 573)