(Deuxième édition (« soigneusement revue, continuée jusqu’à l’avènement du ministère de 1855 et précédée d’un essai historique sur le royaume des Pays-Bas et la révolution de Septembre »), paru à Louvain en 1861, chez Vanlinhout et Peeters. Trois tomes)
Préfaces de la première et de la seconde édition
Introduction. Evénements accomplis avant l’inauguration de Léopold Ier
1. Le royaume des Pays-Bas (1814-1830).
2. La Révolution de septembre (les émeutes du mois d’août – la constitution d’une garde bourgeoise – la réaction hollandaise et l’exigence de la séparation administrative – la montée des périls et la Commission de sûreté publique – l’ouverture des Etats généraux – les journées de Septembre).
3. Le Gouvernement provisoire (septembre-novembre 1830) (la Commission administrative et les débuts du Gouvernement provisoire – la libération du territoire – le décret d’indépendance du 4 octobre et la convocation du Congrès national – le redressement des griefs – la question internationale)
4. Le Congrès national (novembre 1830 – mars 1831) (l’ouverture du Congrès national – l’élection manquée du duc de Nemours – la réorganisation institutionnelle – la nomination du Régent et le retrait du Gouvernement provisoire)
5. La Régence – Election du prince Léopold (février – juillet 1831) (la faiblesse du Régent – le choix de Léopold de Saxe-Cobourg et ses exigences – les dix-huit articles)
Chapitre Ier. Inauguration du Roi (21 juillet-2 août 1831)
Chapitre II. L’invasion hollandaise (août 1831)
1. Les préparatifs militaires de la Hollande
2. Les carences militaires belges
3. La rupture de l’Armistice et la question de l’appel à la France
4. La proclamation royale et la situation d’Anvers
5. Les opérations jusqu’au 4 août 1831
6. Le plan de jonction des armées de la Meuse et de l’Escaut
7. La débâcle de l’armée de la Meuse
8. La bataille pour Louvain
9. La prise de Louvain et l’intervention française
Chapitre III. La Hollande pendant et après la campagne (août 1831)
1. La question de l’absence de déclaration préalable à la reprise des hostilités
2. Les motivations hollandaises à la rupture de l’armistice
3. L’exaltation nationale
4. Critique
Chapitre IV. La Belgique après l’invasion. Causes de nos désastres (octobre 1830 - août 1831)
1. Le général Daine a-t-il trahi ?
2. L’état de désorganisation du département de la Guerre
3. La difficulté d’organiser les rangs de volontaires
4. L’insuffisance des cadres de l’armée régulière
5. La résistance au changement dans l’armée : la presse, les volontaires et le Congrès
6. Evaluation des tentatives de réorganisation militaire
7. L’admission des officiers étrangers dans l’armée belge
8. L’état d’impréparation de la garde civique
9. Le reproche de trahison n’est pas fondé
10. L’influence de la propagande orangiste dans l’armée
1. La première réaction de la Conférence à l’invasion hollandaise
2. L’attitude partiale de la Conférence
3. La renégociation du traité des dix-huit articles
4. La démarcation des limites entre la Hollande et la Belgique
5. La position particulière du Grand-Duché de Luxembourg
6. La résolution des questions territoriales par la Conférence
7. Le partage de la dette hollando-belge
8. Le traité des vingt-quatre articles
9. La résolution de la question du partage de la dette hollando-belge
10. La résolution finale de la question territoriale
11. Conclusions générales
1. La popularité intacte du roi
2. La commission d’une commission d’enquête parlementaire sur les causes du désastre militaire
3. L’inopportunité de la constitution de la commission d’enquête
4. L’acceptation du traité des vingt-quatre articles. Les obstacles et la position du gouvernement
5. L’acceptation du traité des vingt-quatre articles. Les débats parlementaires
1. L’adhésion de la Belgique
2. Le retard apporté à l’échange des ratifications
3. Le « système de persévérance »
4. Le refus hollandais de ratifier les vingt-quatre articles
5. La tentative du comte Orloff de faire abandonner le système de Persévérance
6. Les réserves émises par les puissances du Nord lors de l’échange des ratifications
7. Les réactions belges aux réserves émises lors de l’échange des ratifications
Chapitre VIII. Les forteresses (17 avril 1831 – 5 mai 1832)
1. La ligne de forteresses contre la France
2. La décision de la Conférence de démolir les places fortes et la réaction française
3. Le réponse de la Belgique
4. le dénouement de la question : la convention du 15 novembre 1831
1. Le catholicisme réactionnaire de 1814
2. La réaction libérale aux prétentions catholiques
3. Le rapprochement des catholiques et des libéraux
4. La modération catholique lors du Congrès national
5. L’activisme libéral lors du Congrès national
6. L’encyclique du 15 août 1832 et son interprétation par les catholiques belges
7. L’orangisme
8. Les républicains et les partisans du rattachement à la France
9. La nécessité de l’unionisme dans les premières années de la Belgique indépendante
Chapitre X. Ordre de Léopold (juillet 1832)
Chapitre XI. Mariage du roi. Distribution des drapeaux d’honneur (août 1832 – septembre 1832)
1. Le mariage royal
2. La distribution des drapeaux d’honneur
3. Bruits de guerre
Chapitre XII. Réorganisation de l’armée (août 1831 – octobre 1832)
1. La nécessité d’une réorganisation de l’armée belge
2. La rénovation du cadre des officiers supérieurs
3. Les mesures relatives aux divisions territoriales, à la gendarmerie et aux gardes forestiers
4. L’épuration du cadre des officiers subalternes
5. L’amélioration de l’équipement, de l’armement et de l’instruction
6. La garde civique
7. Situation générale de l’armée belge à la fin de 1831
8. L’ingratitude de la presse et de l’opposition parlementaire
1. Le protocole du 4 mai 1832 et les réactions belges
2. La mission du général Goblet
3. Le double visage de la diplomatie hollandaise
4. L’embarras du cabinet belge
5. Le thème de lord Palmerston
6. Démission d’une partie du cabinet belge. Goblet devient ministre des Affaires étrangères
7. Les effets de la renonciation à la condition d’évacuation préalable du territoire
8. Le recours aux mesures coercitives
Chapitre XIV. Ministère Goblet. Deuxième intervention de la France (octobre – novembre 1832)
1. Reconstitution du ministère et initiatives diplomatiques du nouveau cabinet
2. Les ultimes tentatives de la Conférence pour faire plier la Hollande et les réserves austro-prussiennes
3. L’embargo maritime et les négociations relatives aux conditions d’intervention militaire de la France
4. Les polémiques parlementaires et la démission du cabinet
Chapitre XV. Siège de la citadelle d’Anvers (novembre – décembre 1832)
1. Les positions et les préparatifs militaires à la veille du siège
2. L’incertitude quant au sort d’Anvers
3. Les doutes sur l’opinion publique et les intentions réelles du gouvernement hollandais
4. L’arrivée de l’armée française et les travaux préparatoires
5. Les combats
6. La reddition et les hommages rendus à la résistance hollandaise
7. L’effet des opérations de siège sur l’opinion publique et le départ des Français
1. L’action de l’administration hollandaise en matière de commerce et d’industrie
2. L’effet immédiat de la scission du royaume uni des Pays-Bas sur le commerce et l’industrie
3. Le rétablissement rapide du commerce, de l’industrie et des finances publiques
1. La reprise des négociations diplomatiques
2. La question de la libre navigation sur l’Escaut
3. Les positions belges et hollandaises pendant les négociations diplomatiques
4. Le manifeste du 14 mai 1833
5. L’opposition parlementaire
6. La poursuite des négociations diplomatiques après le manifeste du 14 mai 1833
7. La chute du gouvernement belge et le recours aux élections
8. La convention du 21 mai 1833
Chapitre XVIII. Session extraordinaire de 1833 (mai – octobre 1833)
1. L’émotion provoquée par la dissolution de la chambre des représentants
2. L’agitation orangiste
3. Le résultat des élections
4. La discussion de l’adresse, l’intervention de Gendebien et la victoire finale des ministres
1. Les négociations diplomatiques de l’été 1833
2. Les nouvelles désillusions dues à l’attitude de Guillaume Ier
3. Débats relatifs à la libre navigation sur l’Escaut, au partage de la dette et à la liquidation du syndicat d’amortissement
4. La rupture des négociations au détriment de la Hollande
5. Avantages et inconvénients du maintien du statu quo
Chapitre XX. Convention militaire de Zonhoven (juillet – novembre 1833)
1. L’importance historique de la convention militaire de Zonhoven
2. Les circonstances à l’origine de la convention
3. Le contenu de la convention
4. Les réactions parlementaires
Chapitre XXI. Les chemins de fer (mars – avril 1834)
1. Les prémisses
2. La décision de faire construire le chemin de fer par l’Etat
3. L’élargissement du projet primitif et les débats parlementaires
4. Les avantages politiques et commerciaux du railway national
Chapitre XXII. Les pillages (avril – mai 1834)
1. L’activisme orangiste
2. Le rachat des chevaux du prince d’Orange
3. L’émeute populaire des 4-6 avril 1834
4. L’attitude du gouvernement, des autorités communales et des autorités militaires
5. L’expulsion des étrangers fauteurs de trouble
6. Les réactions parlementaires
7. La loi contre les manifestations orangistes
1. La retraite surprise du cabinet Lebeau-Rogier
2. L’impopularité du cabinet démissionnaire
3. Composition et programme politique de l’administration nouvelle
4. L’accueil favorable du nouveau gouvernement devant la chambre
5. L’atténuation des tensions intérieures
1. Importance et enjeu société de l’instruction publique. Rôle respectif de l’Etat et des particuliers dans celle-ci
2. La portée du principe de la liberté d’enseignement proclamé par l’article 17 de la constitution
3. Mesures relatives à l’instruction publique, prises de 1830 à 1834
4. La fondation de l’université catholique de Malines
5. La fondation de l’université libre de Bruxelles
6. La réorganisation de l’enseignement universitaire de l’Etat
7. L’établissement du jury universitaire
Chapitre XXV. Organisation communale et provinciale (mars – avril 1836)
1. La liberté communale dans les Etats constitutionnels
2. L’attachement traditionnel des Belges aux libertés communales et le respect de celui-ci par le Congrès national
3. L’incident Dejaer-Bourdon à Liége et la nécessité d’une législation organique
4. Le projet gouvernemental de 1833 et la contre-proposition parlementaire
5. Les discussions parlementaires
6. La loi organique communale de 1836
7. La loi organique provinciale de 1836
Chapitre XXVI. Les partis politiques (janvier 1833 – mars 1838)
1. La coexistence des deux grands partis politique et l’unionisme des premières années
2. L’attitude du libéralisme extrême face à la soi-disant « influence occulte » du clergé
3. L’ « influence occulte » en action : la loi communale, les entraves militaires et le traitement des vicaires
4. L’encyclique de Grégoire XVI et l’interdiction d’être membre d’une loge maçonnique
5. Les critiques libérales sur l’action politique du clergé
6. La portée réelle de la guerre faite aux catholiques
7. Le manque de combativité politique du monde catholique
Chapitre XXVII. Les intérêts matériels (1832-1838)
1. Les progrès industriels de la seconde moitié des années 1830
2. Le développement des sociétés anonymes, l’esprit d’association et les institutions financières
3. Les handicaps commerciaux : l’insuffisance de la marine et l’absence des nationaux dans le commerce de long cours
4. Les atouts commerciaux : les infrastructures publiques et le rétablissement des finances de l’Etat
1. L’adhésion de la Hollande aux 24 articles et le pétitionnement belge
2. Les changements intervenus en Belgique depuis 1831 et l’impossibilité d’accepter tel quel le traité des 24 articles
3. L’incident de Strassen
4. Le travail de Barthélemy Dumortier sur la dette hollando-belge de 1831
5. La Lettre de Félix de Mérode à Lord Palmerston
6. La radicalisation des positions patriotiques et l’embarras croissant du gouvernement belge
7. Le discours du trône du 13 novembre 1838 : « Persévérance et courage »
Chapitre XXIX. Négociations antérieures au traité définitif (mars 1838 – février 1839)
1. Coup d’œil rétrospectif
2. La stratégie diplomatique de la Belgique : la dette contre le territoire
3. Le gouvernement belge obtient la renégociation des articles laissés en suspens
4. L’Angleterre s’oppose à la stratégie diplomatique de la Belgique
5. L’évolution des sentiments nationaux en Belgique dans la presse et dans le parlement
6. La France s’aligne sur la position britannique
7. La réparation des erreurs commises en 1831 dans le partage de la dette hollando-belge
8. Les premières réunions de la Conférence. La Belgique obtient de débuter les travaux par la question financière
9. Le refus belge d’accepter tel que le traité des 24 articles
10. Le système transactionnel adopté pour la question financière et le maintien des stipulations territoriales
11. Le memorandum du 12 octobre 1838
12. La radicalisation de la Conférence et les ultimes propositions belges
13. Le dénouement : la réduction de la dette belge et le caractère irrévocable des limites territoriales fixées en 1831
1. L’émulation patriotique. Les manifestations modérées
2. L’émulation patriotique. Les manifestations radicales (la fédération belgo-rhénane, l’Association patriotique, les initiatives parlementaires, l’agitation républicaine et orangiste)
3. La crise financière (décembre 1838)
4. La mobilisation militaire et la perception anticipée des contributions
5. Les premiers signes de résignation
6. La dislocation du gouvernement de Theux
7. L’incident Skrzynecki
8. Le souhait des Puissances d’en finir au plus vite
9. L’échec du système transactionnel
10. La violence des premières interventions parlementaires
11. L’évolution de l’opinion publique en faveur de la paix
12. Les discussions parlementaires et l’adoption du traité des 24 Articles (19 mars 1839)
13. Les actes diplomatiques postérieurs et la constitution d’un nouveau gouvernement
Chapitre XXXI. Chute du ministère de 1834 (8 juin 1839 – 9 avril 1840)
1. L’apparition de la Revue nationale et les premier symptômes de l’opposition entre catholiques et libéraux
2. La faiblesse du nouveau ministère
3. L’affaire Vandersmissen
4. La démission du cabinet de Theux
Chapitre XXXII. Ministère Lebeau-Rogier (18 avril 1840 – 13 avril 1841)
1. La singularité d’un gouvernement libéral homogène face à un parlement majoritairement catholique
2. La volonté ministérielle de poursuivre la politique unioniste
3. Les « imprudences » de la Revue nationale et la méfiance croissante des catholiques
4. La nomination de hauts fonctionnaires favorable au ministère et l’éviction progressive des catholiques
5. Les incidents suscités par certains parlementaires libéraux
6. La question de confiance à l’occasion du budget des travaux publics (février 1841)
7. L’adresse du sénat et la dissolution du cabinet
1. Deux systèmes contradictoires sont en présence
2. Maintien de la politique unioniste, défendue par M. Nothomb
3. Programme du gouvernement unioniste
4. Accueil du programme gouvernemental par les partis
5. Le complot orangiste
6. Nouveaux griefs de l’opposition libérale : A. la dîme
7. Nouveaux griefs de l’opposition libérale : B. la main-morte et la personnalité civile de l’université catholique
8. Les lois réactionnaires : A. la nomination des bourgmestres hors du conseil communal
9. Les lois réactionnaires : B. le fractionnement des collèges communaux électoraux
10. La dernière victoire de l’esprit unioniste : la loi d’organisation de l’enseignement primaire
11. Les lois réactionnaires : la répression des fraudes électorales
Chapitre XXXIV. Cabinet du 16 avril 1843. Retraite de M. Nothomb (16 avril 1843 – 30 juillet 1845)
1. Modifications ministérielles
2. Maintien du programme de l’Union
3. Influence morale des élections de 1843 sur le cabinet unioniste
4. Crise ministérielle à l’occasion du mode de nomination du jury d’examen universitaire
5. Discussions politiques à l’occasion du vote du budget du département de l’intérieur
6. Dissolution du cabinet Nothomb
Chapitre XXXV. Ministère Van de Weyer (30 juillet 1845 – 31 mars 1846)
1. Plan de conciliation conçu par le roi
2. Prétentions exorbitantes de M. Rogier
3. Arrivée de M. Van de Weyer
4. Formation du cabinet du 30 juillet 1845
5. Le ministère devant les Chambres
6. Travaux parlementaires. Théologie, histoire ecclésiastique et droit canon
7. Dissolution du cabinet amenée par le projet de loi sur l’enseignement moyen
1. Projet gouvernemental de Charles Rogier. Son rejet par le roi
2. Nécessité de recourir à un ministère catholique homogène
3. Débats politiques à la Chambre : les offenses au Roi et l'affaire Retsin
4. Projet de loi sur l'enseignement moyen
5. Succès obtenus par le ministère catholique homogène
Chapitre XXXVII. Mouvement politique. Le congrès libéral (1838-1847)
1. Rôle déterminant de Paul Devaux et de la Revue nationale dans la remise en question de la politique unioniste
2. Soutiens du libéralisme exclusif : orangistes, radicaux et francs-maçons
3. Développement des sentiments et des manifestations anticléricales
Chapitre XXXVIII. Les intérêts matériels (1839-1847)
1. Crise linière des Flandres
2. Progrès des autres secteurs économiques
3. Politique active en faveur du développement des infrastructures
Chapitre XXXIX. Ministère du 12 août 1847. La politique nouvelle (12 août 1847 – 31 octobre 1852)
39. 1 Le programme du cabinet et la politique nouvelle
39. 2. La discussion de l'adresse au trône et l'attitude du gouvernement et de l'opposition
39. 3. La publication de la correspondance entre le gouvernement et les évêques, en matière d'enseignement religieux dans les écoles publiques
39. 4. La jurisprudence de Haussy en matière de bienfaisance
39. 5. Le retrait des lois réactionnaires
39. 6. Effet de la révolution de Février 1848 en France
39. 7. Les réformes électorales
39. 8. La loi sur les incompatibilités parlementaires
39. 9. L'hégémonie libérale après les élections de 1848
39. 10. La loi organique sur l'enseignement moyen
39. 11. La mort de la reine
39. 12. La mise en oeuvre de la politique nouvelle vis-à-vis de l'opinion catholique
39. 13. La politique nouvelle et les finances. L'impôt sur les successions
39. 14. La fin du ministère
Chapitre XL. Ministère du 31 octobre 1852 (31 octobre 1852 – 30 mars 1855)
40. 1. Le programme modéré et la nature extra-parlementaire du nouveau ministère
40. 2. Les relations diplomatiques et commerciales avec la France
40. 3. Les dépenses militaires
40. 4. Le mariage du prince Léopold
40. 5. La convention d'Anvers
40. 6. La réaffirmation de la neutralité belge
40. 7. Le renforcement de la majorité catholique après les élections de 1854 et la démission du gouvernement
Chapitre XLI. Les intérêts matériels. – Les lettres, les sciences et les arts (1847-1856)
41. 1. Le développement industriel et commercial
41. 2. Le mouvement scientifique et artistique
Chapitre XLII. Fêtes du 21 juillet 1856
Supplément. Ministère Dedecker – Nothomb. – Troubles de 1857 (30 mars 1855 – 9 novembre 1857)
43. 1. La volonté conciliatrive du nouveau gouvernement
43. 2. Les premiers actes du gouvernement
43. 3. La loi sur les offenses envers les chefs d'Etat étrangers
43. 4. La portée de la loi sur les fondations charitables
43. 5. Les débats parlementaires
43. 6. Les émeutes et la loi des couvents
43. 7. L'ajournement des débats parlementaires et le retrait de facto de la loi