« Mémoires pour servir à l’histoire contemporaine de la
Belgique », par Ch. WOESTE, tome 1
(1859-1894)
(Bruxelles, Dewit, 1927)
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la structure des titres et des sous-titres ci-dessous correspondent à
l’édition-papier de ce livre. L’adaptation qui en a été faite pour la mise en
ligne sur ce site peut être consultée ici)
CHAPITRE PREMIER - MES DEBUTS DANS LA VIE POLITIQUE
(1859-1870)
Biographie de Charles WOESTE (lien vers la page biographie
de ce site)
Note éditoriale (baron DE TRANNOY) (p. 5)
Introduction.
Ma conversion au catholicisme (non disponible dans cette version numérisée) (pp.
1-49)
Avant-propos (pp. 51-52)
Chapitre Ier. Mes débuts dans la vie politique
(1859-1870)
I.
Le désarroi du parti conservateur au lendemain de la crise de 1857 (p. 53)
M. Paul Nève et le Journal de Bruxelles (P. 54)
M. Émue Nève et
Premiers
articles de Ch. Woeste (p. 55)
II.
M. Ducpétiaux et la préparation du premier congrès de
Malines, en 1863 (p. 57)
Participations
belge et étrangère (p. 60)
Discours de
Ch. Woeste sur les luttes et les victoires de
l’Église (p. 61)
Le comte de
Montalembert. Impression produite par son discours (p. 61)
L’association
internationale tour le progrès des sciences sociales (p. 62)
Discours de
Ch. Woeste au Congrès des sciences sociales à Gand
(1863) (p. 63)
M. Jules
Simon déclare qu’en matière d’enseignement, l’État doit « préparer sa
destitution » (p. 65)
Ch. Woeste refuse la direction du Journal de Bruxelles (p. 66)
Disparition
de
III.
Démission du Cabinet Rogier-Frère (p. 67)
Le Roi fait
appel à M. Dechamps, qui met des conditions à son acceptation (p. 68)
Léopold 1er
prie MM. Rogier et Frère de reconstituer le ministère (p. 68)
Le rôle
joué par M. van Praet auprès de nos deux premiers souverains (p. 69)
La
dissolution est favorable aux libéraux (p. 71)
Fin de la
carrière parlementaire de M. Dechamps (p. 71)
Le second
congrès de Malines (1864). Mgr Dupanloup (p. 72)
Discours de
Ch. Woeste sur les ordres religieux (p. 73)
Cinq
articles sur le temporel des cultes (p. 73)
L’encyclique
Quanta cura du 8 décembre 1864 (p. 75)
Mgr
Dechamps. La thèse et l’hypothèse (p. 76)
IV.
Oeuvres religieuses, oeuvres
charitables. L’association Sainte-Barbe (p. 77)
Les cercles
catholiques. Les conférences de l’Emulation (p. 80)
Ch. Woeste reçu par le comte de Montalembert à Rixensart (p.
82)
L’OEuvre des Églises-Unies d’Orient (p. 82)
Ch. Woeste épouse Mile Greindl
(janvier 1866) (p. 83)
Le
troisième congrès de Malines (1867). Le Père Hyacinthe (p. 83)
Mort de M. Ducpétiaux. Ch. Woeste prend la
direction de
L’éphémère
Revue catholique de Louvain (p. 86)
V.
Les
élections de juin 1868 fortifient la majorité libérale (p. 88)
La question
militaire (p. 88)
L’Association
pour la réforme électorale et le suffrage universel (page 89)
Les
poursuites contre les «Langrandistes » (p. 90)
Les
élections de juin 1870. Victoire des catholiques (p. 91)
Démission
du ministère libéral (p. 92)
Le baron d’Anethan est chargé de constituer un cabinet de droite (p.
93)
Les
nouveaux ministres; le général Guillaume (p. 94)
Chapitre
II. Les ministères des 2 juillet 1870 et 7 décembre 1871 (1870-1878)
I.
Les difficultés s’amoncellent (p. 95)
L’affaire Langrand (p. 96)
La guerre
franco-allemande (p. 96)
Dissolution
des Chambres. Victoire ministérielle (p. 97)
Ch. Woeste songe à entrer dans la magistrature. Ses amis l’en
dissuadent (p. 98)
Le concile.
L’infaillibilité pontificale. Une profession de foi (p. 99)
Réforme
électorale : l’abaissement du cens (p. 100)
Une double
commission pour la réorganisation de l’armée (p. 101)
Ch. Woeste combat cette réorganisation dans
Le roi
Léopold II tente vainement de le convertir (p. 104)
Deux
nouveaux articles sur
Ch. Woeste se présente aux électeurs d’Alost. Compétitions (p.
106)
Le nomination
de M. de Decker au gouvernement du Limbourg (p. 107)
M. Bara
interpelle (p. 108)
« Le
ministère manque d’attitude. » Les émeutes de novembre 1871 (p. 109)
La
révocation du Cabinet d’Anethan. Appréciation (p.
111)
La droite
ne se range ni derrière M. Thonissen, ni derrière M.
Dumortier (p. 113)
II.
Deux sauveurs : le comte de Theux et M. Malou (p. 114)
Le
ministère du 2 décembre 1871 (p. 115)
Le général
Guillaume propose l’augmentation du contingent et le service personnel (p. 116)
Ch. Woeste aux prises avec le colonel Brialmont (p. 117)
Démission
du général Guillaume (10 décembre 1872) (p. 118)
La grève
des généraux (p. 118)
Le général Thiebauld devient ministre de la guerre le 20 mai 1873 (p.
118)
Il formule
diverses propositions que Ch. Woeste appuie (p. 119)
Résistance
de la droite. M. Malou menace de se retirer. Une transaction intervient (p.
120)
M. Moncheur est remplacé aux Travaux publics par M. Beernaert.
Les opinions du nouveau ministre (p. 121)
Ch. Woeste est élu sans lutte à Alost, en juin 1874 (p. 122)
III.
M. de Haulleville le remplaça à
Les débuts
dans une assemblée législative (p. 123)
Intervention
opportune dans un débat au sujet de paroles prononcées par des pèlerins belges
à Rome (p. 124)
Les
catholiques accusés de compromettre des rapports avec l’Allemagne (p. 125)
Le libéralisme
s’engage dans la guerre contre l’Église (p. 126)
Élection à
Bruxelles de M. Paul Janson (p. 127)
Une étude
sur 1’Êvolution anticatholique et radicale du
libéralisme (p. 128)
Les
processions jubilaires interdites à Liége. Protestations de Mgr de Montpellier.
Ch. Woeste, dans
Une
proposition de M. Frère-Orban (p. 130)
La
collation des grades par les facultés universitaires (p. 132)
IV.
Le secret du vote (p. 133)
M. Malou entre
la droite et la gauche (p. 136)
La loi
électorale est votée (p. 137)
Incidents
successifs entre le gouvernement et la droite (p. 138)
Augmentation
de la contribution personnelle (p. 139)
M. Malou et
la gauche (p. 140)
Les trois
Jules (p. 141)
« Nous
avons vécu » (p. 141)
Élections
de juin 1878. Les causes du renversement du ministère Malou (p. 143)
Chapitre
III. Le Ministère libéral de 1878. - Les difficultés du parti catholique
(1878-1884)
I M.
Frère-Orban constitue son ministère. MM. Graux et Van
Humbeek (p. 145)
Dépôt du
projet de loi scolaire (p. 146)
M. Malou
organise la résistance (p. 147)
II.
Les difficultés du parti catholique (p. 148)
Tendances
contraires à
Elles
paraissent être encouragées par le pape Pie IX, par les nonces, par divers
évêques (p. 150)
Le cardinal
Dechamps (p. 151)
Une
brochure du P. de Buck (p. 152)
Mgr Vincent
Vannutelli. Son frère, Mgr Séraphin Vannutelli, devient nonce à Bruxelles. Ils soutiennent les
catholiques parlementaires (p. 153)
Avènement
du pape Léon XIII. Revirement à Rome (p. 154)
Les
attaques contre
Ch. Woeste propose de faire une démarche auprès du pape Léon
XIII (p. 155)
Une note
rédigée par M. Malou est remise au nonce (p. 156)
La note de
la droite (p. 157)
Elle est
communiquée au cardinal Dechamps. Le théologien en lutte avec l’homme pratique
(p. 162)
M. Beernaert
à Rome Une brochure du cardinal Dechamps sur la licéité du serment (p. 163)
III.
Le prince de Ligne, président du Sénat, engage M. Frère à ne pas rompre avec
Rome (p. 164)
Ouverture
de l’échange de vues entre le gouvernement belge et le Saint-Siège. L’attitude
de M. Frère (p. 165)
Les
négociations s’étendent à la question scolaire (p. 166)
Les refus
de sacrements édictés par l’épiscopat belge (p. 167)
Émoi des
catholiques parlementaires. Vains efforts du nonce (p. 168)
Les
dispositions du Saint-Siège sont conformes à celles du nonce (p. 169)
M. Frère
publie des documents diplomatiques. Le Saint- Siège proteste (p. 169)
Les
dépêches des 5 octobre et 11 novembre 1879 (p. 170)
Le cardinal
Dechamps se prépare à répondre. Le Saint- Siège l’en dissuade (p. 171)
Nouvelles
instructions épiscopales (p. 172)
Une lettre
est envoyée à Rome par les catholiques parlementaires (p. 173)
La mission
du chanoine Claessens à Rome (p. 173)
Reprise de
l’échange de vues (p. 173)
Le Pape
demande aux évêques de modifier les instructions (p. 175)
M. Frère
nie qu’il ait eu connaissance de la lettre aux évêques (p. 176)
Elle ne
pouvait lui être officiellement communiquée (p. 177)
Le 5 juin
1879, il rompt avec le Saint-Siège (p. 177)
Publications
de nouvelles instructions épiscopales Le nonce quitte Bruxelles (p. 180)
IV.
La maladie de Mgr Dumont, évêque de Tournai (p. 182)
Le chanoine
Du Roussaux est nommé administrateur diocésain, puis
évêque de Tournai (p. 185)
V.
Les fêtes du cinquantenaire de l’Indépendance nationale (p. 186)
Les évêques
se borneront à chanter le Te Deum dans leurs cathédrales (p. 187)
Ch. Woeste regrette cette décision (p. 189)
Il
conseille aux droites parlementaires la participation (p. 190)
VI.
Divulgation de lettres de M. Perin concernant le
Cardinal et l’Université de Louvain (p. 191)
Nouvelles
lettres de M. Perm. Il est appelé à Rome (p. 192)
Lettre du
Pape au cardinal Dechamps. Retraite de M. Perin (p.
193)
Le chanoine
Pieraerts est nommé recteur de l’Université de
Louvain (p. 194)
VII.
Suppression des subsides aux Séminaires (p. 195)
M. Woeste combat le projet d’un mandement de protestation (p.
196)
VIII.
L’enseignement libre est organisé sur des bases épiscopales (p. 197)
Une large
part est faite à l’élément laïque (p. 198)
IX.
Un comité mixte donnera des avis à l’épiscopat sur les questions mixtes (p.
199)
Mgr Gravez,
évêque de Namur. Mgr Goossens lui est donné comme coadjuteur (p. 200)
Mort du
cardinal Dechamps (p. 202)
Mgr
Goossens est appelé à lui succéder (p. 203)
Mgr Belin
devient évêque de Namur (p. 204)
XI.
Incident provoqué par une lettre de Mgr Doutreloux à
M. Bara (p. 205)
Mgr Van Weddingen, aumônier de
XII.
Questions agitées de 1880 à 1884 Quatorze millions d’impôts nouveaux. Vif
mécontentement (p. 210)
Proposition
d’enquête sur les couvents (p. 211)
La droite
demande les comptes de l’enquête scolaire (p. 212)
L’Union
pour le redressement des griefs (p. 213)
Le discours
de M. Beernaert à Marche (p. 214)
La liste
des « Nationaux Indépendants» à Bruxelles (p. 214)
Chapitre IV. Le ministère du 16 juin 1884
I.
Ch. Woeste élabore un projet de loi scolaire qui est
adopté par la droite (p. 216)
L’élection
de Nivelles (p. 217)
Le comte
Adrien d’Oultremont. L’alliance des catholiques et
des indépendants à Bruxelles (p. 219)
II.
La victoire du 10 juin 1884 (p. 221)
M. Malou se
prépare à former un ministère (p. 222)
Le Roi l’en
charge le 12 juin (p. 225)
Ch. Woeste devient ministre de
Le général
Pontus (p. 226)
Quatre
nouveaux ministres d’État (p. 228)
Le Roi
prend contact avec les nouveaux ministres (p. 230)
Premières
mesures administratives (p. 231)
III.
Quatre nouveaux gouverneurs de provinces (p. 233)
Le code
Laurent (p. 235)
Les cultes.
Les cimetières (p. 236)
Entretien
de Ch. Woeste avec le Roi sur le projet de loi
scolaire (p. 239)
Les
élections sénatoriales (p. 240)
Un projet
de Ch. Woeste sert de base à la loi scolaire de 1884
(p. 241)
Nouvelle
entrevue avec le Roi (p. 242)
Le général
Foutus donne sa démission, puis la retire (p. 247)
IV.
Le rétablissement de la légation près le Saint-Siège Ch. Woeste
et V. Jacobs qualifiés d’« athlètes » par M. Malou (p. 249)
Le projet
de loi scolaire est mal accueilli par les catholiques (p. 250)
Une lettre
de M. Malou au Roi (p. 251)
Premières
manifestations d’agitation dans les rues (p. 252)
Attitude
énergique du gouvernement (p. 254)
Les
libéraux cherchent à impressionner le Roi (p. 255)
Les
manifestations du 10 août 1884 (p. 256)
Le Roi en
discussion avec ses ministres (p. 257)
« On fait
le siège du Roi » (p. 258)
La
discussion générale se termine le 22 août . (p. 259)
Ch. Woeste expose le projet aux évêques réunis à Bruges (p.
260)
L’amendement
de M. Tesch (p. 261)
La loi
scolaire est votée le 30 août. Manifestation libérale du 31 août (p. 261)
Manifestation
catholique du 7 septembre. Violences libérales (p. 264)
Un ordre du
jour du Sénat blâme les excès du 7 septembre (p. 266)
V.
Le Roi sanctionnera la loi (p. 268)
Il ne fait
pas d’objection au départ de Ch. Woeste pour Paris
(p. 270)
La pétition
des bourgmestres et le discours du Roi (p. 271)
La loi
scolaire au Moniteur du 22 octobre 1884 (p. 273)
Les
attaques du National contre le Roi et
Le Roi
s’oppose aux poursuites (p. 276)
Expulsion
du directeur du National (p. 277)
Nouveaux incidents.
Les gendarmes en bourgeois (p. 278)
L’administration
du département de
Entretien
avec le Roi (p. 283)
L’incident Schuermans (p. 284)
VI.
Les élections communales d’octobre 1884. Favorables dans l’ensemble,
défavorables dans les grandes villes (p. 287)
Le Roi se
montre impressionné (p. 287)
M. Bara
reçu au Palais (p. 287)
Le Roi
demande la démission de MM. Woeste et Jacobs (p. 290)
M. Malou
refuse de se séparer de ses collègues (p. 290)
Convocation
des deux droites (p. 291)
Explosion
de colère. Ch. Woeste adjure M. Beernaert de
reconstituer le Cabinet (p. 293)
A quels
mobiles le Roi a-t-il obéi ? (p. 294)
Le rôle du
général van der Smissen (p. 296)
L’antipathie
du Roi pour M. Jacobs (p. 297)
« M. Woeste a fait ma conquête » (p. 298)
Langage
viril de
VII.
M. Beernaert refuse de constituer un cabinet mixte (p. 299)
Il forme un
ministère de droite : M. Thonissen, M. de
Volder, le prince de Caraman-Chimay (p. 301)
M.
Beernaert refuse de modifier la loi scolaire (p. 302)
Ch. Woeste devient président de
I.
M. Beernaert (p. 305)
Les ministres
du 26 octobres 1884 (p. 307)
Situation
difficile du ministère vis-à-vis de la droite (p. 308)
II.
Conflit avec le bourgmestre de Bruxelles et le gouverneur du Brabant (p. 309)
La
réquisition de la force armée (p. 310)
III.
M. de Lantsheere, président de
Interpellation
sur la crise ministérielle (p. 312)
M. de
Volder défend les mesures prises pour le maintien de l’ordre (p. 314)
Le Roi
demande l’augmentation du contingent de l’armée (p. 315)
Léopold II
est autorisé à accepter la souveraineté de l’État Indépendant du Congo (p. 316)
Des
satisfactions de détail sont accordées aux catholiques (p. 317)
Le nouveau
nonce Mgr Ferrata (p. 318)
Vingt ans
de polémique (p. 319)
IV.
Ch. Woeste prend une initiative qui mécontente M.
Beernaert (p. 319)
Celui-ci
fait entrevoir sa retraite (p. 321)
Nouvelles
difficultés (p. 322)
Échec de
l’emprunt à lots de l’État du Congo (p. 324)
Les grèves
de 1886; le général van der Smissen (p. 325)
La
commission du Travail; la question ouvrière (p. 326)
La
répression des provocations non suivies d’effet (p. 326)
La question
du service personnel est posée au lendemain des grèves de 1886 (p. 327)
Les
élections de
Le premier Congrès
des sciences sociales à Liége (p. 329)
V.
Les circonstances ont servi M. Beernaert (p. 330)
Une
allusion au service personnel dans le discours du Trône de 1886 (p. 331)
Ch. Woeste répond en convoquant les délégués des associations
conservatrices (p. 332)
L’attitude
de la gauche (p. 335)
La réponse
au discours du Trône (p. 336)
Différend
avec M. Beernaert au sujet des capacitaires de droit (p. 337)
Opposition
contre le service personnel. Les droites convoquées le 22 décembre à l’hôtel de
Merode (p. 340)
Discours de
MM. Beernaert, de Becker et Woeste (p. 341)
M.
Beernaert renonce à demander le service personnel (p. 343)
Ch. Woeste est nommé rapporteur de la section centrale (p. 343)
Les
partisans du service personnel ne se considèrent pas comme battus (p. 344)
Le Roi et
l’aristocratie bruxelloise leur viennent en aide (p. 344)
Nouveaux
incidents. L’affaire de Malander (p. 346)
Ch. Woeste publie l’Histoire du Culturkampft
en Suisse (p. 353)
M. de Haulleville et le Journal de Bruxelles (p. 354)
La droite
vote les fortifications de
Nouvelles
instances du Roi à Rome et à Malines en faveur du service personnel (p. 356)
Le principe
du service personnel est finalement rejeté (p. 358)
Ch. Woeste est représenté comme étant le chef de la droite (p.
359)
Le Progrès,
organe des Indépendants. Lois sociales (p. 360)
Ch. Woeste dépose un amendement en faveur des écoles libres non
subsidiées. Rejet de cet amendement (p. 361)
La droite
se réunit en vue des élections (p. 362)
Second
congrès des sciences sociales à Liége. Le pouvoir temporel des Papes (p. 363)
VI.
M. de Volder remplace M. Thonissen à l’Intérieur. M.
Lejeune devient ministre de
Ch. Woeste prend diverses initiatives d’ordre politique (p.
366)
M. de Haulleville et
Les
élections de 1888 (p. 369)
Un discours
de M. Théodor (p. 370)
M. Théodor échoue; M. Buls rentre à
Ch. Woeste aux prises avec le Journal de Bruxelles (p. 373)
M. de Bruyn
remplace le baron de Moreau à l’Agriculture (p. 374)
VII.
Un succès électoral à Bruxelles : l’élection de M. Powis de Tenbossche (p. 375)
M.
Beernaert confère avec Ch. Woeste au sujet de
questions politiques (p. 377)
La loi Coremans et la question flamande (p. 377)
Une
commission des droites pour l’étude des questions électorales (p. 378)
Une
initiative de Ch. Woeste en faveur des instituteurs
catholiques (p. 379)
Echange
d’explications entre Ch. Woeste et M. de Volder. Un
accord intervient (p. 381)
La brochure
verte et la brochure des quatre généraux sur le service personnel (p. 382)
Ch. Woeste adresse un appel au bon sens public (p. 383)
M.
Beernaert réunit la commission électorale (p. 384)
Le congrès
de Malines de 1890 (p. 386)
Les
actionnaires du Journal de Bruxelles et M. de Haulleville
(p. 387)
Ch. Woeste appuie la loi des cadres présentée par le général
Pontus (p. 388)
L’affaire Pourbaix devant les Chambres (p. 389)
Réélection
de M. Paul Janson (p. 393)
Il invite
les ministres à se démettre. Intervention de Ch. Woeste
(p. 394)
Réunion de
M.
Beernaert poursuit l’extension du droit de suffrage (p. 397)
Lois
sociales. Intérêts scolaires: la caisse de pension des instituteurs libres (p.
398)
Entretien avec
le Roi au sujet du Congo (p. 403)
VIII. L’affaire Pourbaix devant
La question
électorale. L’attitude des libéraux (p. 405)
L’affaire Nieter. Détournement de documents diplomatiques (p. 406)
La loi sur
l’enseignement supérieur. Les budgets (p. 407)
L’affaire Nieter devant
La question
du Congo. Le prêt de 25 millions (p. 411).
Les
difficultés du Journal de Bruxelles (p. 413)
Les
élections de 1890. Session extraordinaire des Chambres (p. 414)
Le prêt de
25 millions à l’Etat du Congo. Le droit de préférence de
Ch. Woeste, bâtonnier de
Un non-lieu
dans l’affaire Nieter. L’école moyenne de Couvin (p.
418)
Manifestation
socialiste du 10 août 1890 en faveur du suffrage universel (p. 420)
Le
troisième Congrès des oeuvres sociales, à Liége (p.
421)
« J’ai peur
de l’État et je hais le césarisme » (p. 422)
Importance
des Congrès de Liége (p. 424)
I.
Ch. Woeste interroge M. Beernaert sur ses intentions
(p. 426)
M. Mélot remplace M. de Volder au ministère de l’Intérieur (p.
427)
M.
Beernaert se prononce pour la prise en considération du projet de révision (p.
428)
La prise en
considération est votée. Désarroi de la droite (p. 429)
M.
Beernaert se pose en champion de la révision (p. 430)
La droite
se divise. Le Roi accède (p. 431)
M. Jules de
Burlet remplace M. Mélot au
ministère de l’Intérieur (p. 432)
La section
centrale (p. 433)
M.
Beernaert y expose ses vues (p. 434)
La section
centrale se prononce pour la révision (p. 435)
Le dépôt du
rapport est retardé à la demande de la droite (p. 436)
Comment la
révision devint inévitable (p. 437)
Ch. Woeste demande un crédit pour les écoles libres adoptables
(p. 438)
Une
campagne contre le général Pontus. Les fortifications de
M. Lejeune
(p. 440)
Le congrès
de Malines de 1891. Maladie de M. V. Jacobs (p. 441)
Les
encycliques Reruin novarum
et Graves de communi (p. 442)
Une
brochure de Ch. Woeste sur
II.
Ch. Woeste, ministre d’État (p. 444)
La session
de la révision (p. 445)
M. Beernaert
propose au Roi le referendum (p. 445)
Ch. Woeste se rend à Rome à la demande du Souverain Pontife (p.
446)
Un
entretien avec le pape Léon XIII (p. 447)
Ajournement
du crédit pour les écoles libres (p. 542)
Le débat
sur la révision s’ouvre le 2 février 1891 (p. 452)
Le
referendum : « Oeuvre de
césarisme » déclare Ch. Woeste (p. 453)
Le
mouvement antireférendiste (p. 454)
Le Roi
parle d’abdiquer. « Ce sont des dragons chinois » (p. 455)
M. de Lantsheere propose un arrangement suggéré par M. Beernaert (p.
455)
M. Alph. Nothomb se déclare d’accord avec M. Janson sur le
suffrage universel (p. 457)
La droite
accentue son opposition. Mécontentement de M. Beernaert (p. 458)
Nouvelle
intervention de M. de Lantsheere. Une impasse (p.
460)
Les articles
47 et 48 de
Ch. Woeste s’abstient pour éviter une crise ministérielle avant
les élections (p. 463)
Mise à la
retraite des généraux Nicaise et Brialmont (p. 464)
Les
élections de 1892. Echec des Indépendants à Bruxelles (p. 465)
Un article
sur les élections et la révision (p. 467)
III.
Ch. Woeste évite une explication avec M. Beernaert
(p. 468)
M. Janson
dépose une proposition consacrant le suffrage universel (p. 469)
La
commission de la révision, sa composition (p. 470)
IV.
Différend entre l’État du Congo et les sociétés commerciales. Une interview (p
472)
L’article
47 devant
MM.
Beernaert et Woeste aux prises (p. 475)
Le veto
royal suspensif préconisé par M. Van den Heuvel (p.
476)
Nouvelles
propositions de MM. Beernaert et Woeste. Malaise à
droite (p. 477)
Le vote
plural préconisé par MM. Féron et Nyssens. La
proposition de Kerchove (p. 480)
Nouvelle
intervention de M. Nyssens (p. 484)
Ch. Woeste victime d’une agression (p. 485)
M.
Beernaert s’entend avec l’extrême gauche. Mécontentement de la droite (p. 486)
Admission
du vote plural (18 avril 1893) (p. 489)
La
réorganisation du Sénat. Intervention du Roi (p. 490)
Échec du
système de l’élection à deux degrés. Les propositions Visart
(p. 494)
Les
conditions de l’éligibilité au Sénat. Rejet des diverses propositions (p. 496)
Le Conseil
des ministres convoqué en vue de la démission de M. Beernaert (p. 496)
La
proposition amendée du comte A. Visart rallie une
majorité (p. 497)
L’article
48. La révision est chose faite (p. 497)
V.
Les revendications ouvrières. De christene volkspartij (p.
499)
Tendances
diverses parmi les catholiques au sujet de la question sociale (p. 500)
VI.
Une campagne de presse en faveur dc la représentation
proportionnelle (p. 501)
Opposition
de Ch. Woeste. Interventions épiscopales (p. 502)
M.
Beernaert annonce sa retraite prochaine (p. 505)
Le Roi
refuse de s’interposer (p. 506)
Une
commission des droites est chargée de chercher un terrain d’entente (p. 509)
Un
procès-verbal de carence (p. 511)
Lettre au
Courrier de Bruxelles. La rupture (p. 511)
Lettre au
cardinal Goossens (p. 512)
La
proposition Lammens. Adhésion inattendue de Ch. Woeste (p. 513)
Pétitions
contre et pour la représentation proportionnelle (p. 515)
M.
Beernaert élabore un projet de représentation proportionnelle (p. 516)
Vote d’un
crédit de 300,000 francs en faveur des écoles libres (p. 517)
Les
sections repoussent le projet élaboré par M. Beernaert (p. 518)
Celui-ci
annonce sa retraite définitive. Le Roi revient de Suisse (p. 519)
Il accepte
la démission de M. Beernaert et son remplacement par M. de Burlet
(p. 520)
Un
ministère de proportionnalistes, sans la
représentation proportionnelle (p. 520)