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Note
d’intention
SMITS Jean-Baptiste (1792-1857)
SMITS Jean-Baptiste, né en 1792 à Anvers, décédé en 1857 à Arlon.
Age en 1830 : 38 ans.
Sans couleur politique.
Elu par l'arrondissement d’Anvers de 1833 à 1845
Interventions
sessions : 1833, 1833-1834,
1834-1835, 1835-1836, 1836-1837, 1837-1838, 1838-1839, 1839-1840, 1840-1841, 1841-1842, 1842-1843, 1843-1844, 1844-1845
(F. DONNET, dans Biographie nationale de Belgique, t. XXII, 1914-1920, col.
854-864)
SMITS (Jean-Baptiste), homme d’état, né à Anvers, le 10 avril
1792, mort à Arlon, le 3 mai 1857. Fils de Henri-Joseph Smits et d’Isabelle Verreps, il fit ses premières études à l’école secondaire
de Vilvorde. Rentré plus tard à Anvers, il y rencontra le secrétaire de la
préfecture Julien d’Aguilhan, ancien professeur du
Collège de l’Oratoire à Paris. Sous sa direction, il compléta son instruction
et remédia à ce que ses premières études avaient eu de trop sommaire. Peu
après, en 1806, il entra comme employé au greffe du tribunal de commerce ;
mais le 15 février 1808 grâce à la protection de d’Agulhan,
il était nommé commis-rédacteur en chef du bureau de la préfecture du
département des Deux-Néthes. Dans ces fonctions, il
se signala de telle manière qu’il fut attaché à la personne du comte de
Montalivet, lors de chacun des séjours que ce ministre français fit à Anvers.
Celui-ci voulut même l’amener à Paris, mais des raisons de famille empêchèrent
Smits d’accepter cette offre. Il rendit de nombreux services pendant son
passage dans les bureaux de la préfecture. Attaché au cabinet particulier du
général Carnot, il concourut pour la plus grande part à l’approvisionnement de
la place de Berg-op-Zoom, et réussit à mettre les communes d’Eeckeren, Wilmarsdonck, Beerendrecht et Santvliet à
l’abri des exigences de la soldatesque. Grâce à sa situation, il parvint à
obtenir des reconnaissances intégrales pour toutes les fournitures
réquisitionnées sur le commerce d’Anvers ou enlevées de force aux populations
rurales au cours du siège d’Anvers en 1814.
C’est à la suite de cette intervention si active que Smits fut nommé chef
du deuxième bureau de la sous-intendance d’Anvers. Mais il n’y resta pas
longtemps. Il était, en effet, désigné peu après pour remplir les fonctions de
secrétaire de la régence de la ville, fonctions qu’avaient occupées jusqu’alors
le comte Ch. de Baillet, nommé receveur général de la province. Il préféra
toutefois accepter la place, peut-être moins en vue, quoique plus utile, de
chef de la première division de l'administration communale. Il devait la
conserver pendant quinze ans.
Les alliés, maîtres de nos provinces, avaient exigé de
Dans les bureaux de la municipalité, Smits étudia surtout la gestion
financière de la ville ; il fut l'auteur de la plupart des règlements émis
à cette époque pour régulariser cette partie de l'administration. Il fut en
même temps chargé de la « classification de toutes les pièces des
différents bureaux et de l'épurement de tous les cartons afin de parvenir à une
organisation entière de l’administration. » Dès l'année 1822, il fut
désigné pour remplir ad interim les fonctions d'inspecteur des impositions
communales; deux ans plus tard, la même tâche lui incomba pour l’octroi et les
taxes municipales. Dans l'entretemps s'était fondée,
à Anvers, en 1816, la "Société des amis de l'Art" ayant pour but
l'étude des lettres et des arts. Smits en fut choisi comme premier secrétaire.
Une scène plus vaste devait bientôt être réservée à l'activité de J.- B.
Smits. En effet, par arrêté royal du 24 octobre 1828. il était nommé secrétaire
de la chambre de commerce. II y fit preuve d'un esprit d'initiative très
remarqué. C'est ainsi qu'en présence de la lenteur excessive mise à l'étude de
la construction du canal de jonction projeté entre l'Escaut et
Quoiqu'il ne prit pas une part active aux événements qui devaient peu après
provoquer l'indépendance de notre patrie, il fut, lors de la constitution du
premier conseil de régence élu sous le nouveau régime, chargé, du 29 octobre
1830 au 13 février 1831, de remplir les fonctions de secrétaire provisoire de
l'administration à la tête de laquelle était placé le bourgmestre Dhanis van Cannart.
Les Pays-Bas avaient présenté un projet habilement combiné, auquel
C'est alors que J.-B. Smits, avec une rare perspicacité, devina toutes les
conséquences de la politique hollandaise. Pour éclairer les plénipotentiaires,
il fit, en 1832, éditer à Anvers, chez l'imprimeur H-P. Vander Hey, une
brochure qu'il intitula : « Lettre à un représentant sur la partie
commerciale et maritime du nouveau projet de traité proposé à
Au lieu de prendre pour base, comme
Cette brochure eut un retentissement considérable, et le gouvernement se
hâta d'envoyer Smits à Londres en le nommant commissaire près de
Le ministre Rogier lui offrit peu après la direction des affaires
commerciales et industrielles du département de l'intérieur. Dans ces nouvelles
fonctions, Smits fit preuve d'une activité fort grande: il rédigea les nouveaux
tarifs des douanes, jeta les fondements de la statistique commerciale, ouvrit
des négociations avec
Mais ses concitoyens, désireux de lui prouver leur reconnaissance, lui
proposèrent une candidature à
Toutefois, son rôle fut surtout prépondérant lors de la présentation du
projet de loi pour la construction des premiers chemins de fer en Belgique.
Nommé rapporteur de la section centrale, il présenta, en séance du 18 novembre
1833, un rapport remarquable, où il résume encore une fois, en terminant, les
arguments qu'il a déjà souvent fait valoir:
Dans les sessions suivantes de la législature, J.-B. Smits se prodigua dans
toutes les discussions économiques ou financières. Ses principes restent
immuables : il proteste contre les systèmes de douane prohibitifs, proposant
des exemptions de surtaxe et des réductions de tarifs; il combat
l'établissement de droits différentiels. En 1839, la crise financière, qui
alors régnait avec intensité, provoqua la suspension des payements de
A cette époque, diverses missions lui furent confiées. C'est ainsi qu'en
1834 il fut envoyé à Paris pour poser les préliminaires du nouveau traité de
commerce entre
Cependant il occupait toujours à
Mais bientôt il fut appelé à faire valoir ses qualités sur une scène plus
élevée encore. Le roi Léopold l'appela à faire partie du ministère et, par
arrêté royal du 5 août 1841, il fut placé à la tête du département des
finances. Soumis, du chef de cette nomination, à réélection, il fut renommé
représentant d'Anvers sans opposition à l'élection du 1er septembre de cette
année.
Dans cette nouvelle situation, il ne modifia guère la règle de conduite
qu'il avait toujours tenue à
Lors de sa nomination, la situation générale n'était guère favorable; une
crise financière menaçait le pays. Malgré ces circonstances difficiles, il
réussit à conclure à des conditions exceptionnelles le premier emprunt belge
avec la banque Rothschild. Sans augmenter les impôts, il obtint un rendement
plus important de ceux-ci, provoquant ainsi une augmentation annuelle de plus
de 5 millions de revenus. Durant son passage au ministère, il présenta divers
projets de loi, notamment ceux sur les sucres, les eaux de vie indigènes, le
sel, les douanes, les patentes. Il parvint à trouver une solution heureuse pour
provoquer le règlement définitif de la question si épineuse du partage de la
dette entre
Du reste on ne peut mieux résumer le rôle que Smits remplit, pendant deux
ans, à la tête des finances qu'en donnant un extrait de la lettre qu'il écrivit
au Roi, en 1843, en demandant d'être relevé de ses fonctions :
« Autant qu’il a été en moi, j'ai rempli la tâche que Votre Majesté m'a
imposée. Tous les projets qu'elle m'a chargé de soutenir ont été adoptés par
les deux Chambres. La loi des sucres même, loi si difficile, si laborieuse n'a
subi de modifications que dans un seul de ses articles, celui relatif à
l'assiette et à la quotité du droit. J'ai pu, avec Votre approbation,
contracter un emprunt honorable pour le pays; presque toutes les lois des
impositions directes et indirectes ont été révisées, et sous mon
administration, les revenus ordinaires de l'Etat auront été augmentés d'environ
6 millions par an. Mais ces travaux accomplis en si peu de temps au milieu de
luttes de toute nature, m'ont fait sentir le besoin de retrouver dans des
fonctions moins importantes, moins pénibles, un peu de repos devenu
indispensable à ma santé, à ma famille, à mes intérêts ».
A la clôture de la session législative, la demande de J.-B. Smits fut
agréée. Par arrêté royal du 16 avril 1843, le roi Léopold Ier acceptait sa
démission; mais, ne voulant se priver entièrement de ses services, quelques
jours plus tard, le 20 mai de la même année, il le nommait gouverneur de la
province de Luxembourg en remplacement de Ad. Dechamps. A cette occasion Smits
dut se représenter devant ses électeurs anversois, car il désirait garder son
mandat à
Toutefois, l'opposition que lui avaient suscitée à Anvers ses principes
économiques, n'avait pas désarmé; on le combattait d'autant plus facilement
qu'éloigné de sa ville natale il lui était difficile de répondre à ses
antagonistes. , Aux élections du 10 juin 1845, il échoua.
Désormais son rôle à Anvers était terminé. Fixé depuis sa nomination à Arlon,
il devait encore une fois, dans les nouvelles fonctions, faire preuve d'une
activité inlassable qui se manifesta par une série de mesures ayant toutes pour
but le bien-être matériel et le développement économique de la province de
Luxembourg.
C'est ainsi qu'il s'intéressa particulièrement à l'amélioration de la
situation des classes ouvrières; il préconisa puissamment l'établissement de
voies ferrées, s'appliqua particulièrement à développer le réseau de la voirie
provinciale et se montra grand partisan de la reprise des travaux du canal de
Dans les diverses fonctions, d'abord fort modestes, puis successivement de
plus en plus éminentes, que J.B. Smits remplit pendant sa laborieuse carrière,
il fit preuve d'une endurance de travail remarquable, d'un dévouement
inlassable aux intérêts de sa ville natale, d'une expérience consommée de
toutes les questions financières et économiques. Si l'on veut apprécier le rôle
qu'il joua à
J.-B. Smits avait été marié deux fois. Il épousa en premières noces, à
Anvers, Jeanne-Henriette Sneyers, et en secondes
noces la sœur de celle-ci, Isabelle-Marie Sneyers,
fille de Jean-Adrien Sneyers, professeur d'histoire
et secrétaire de l'Académie royale des Beaux-Arts d'Anvers. Du premier lit, il
eut quatre fils parmi lesquels il faut citer le peintre de talent, Eugène
Smits, décédé en 1912.
Fernand Donnel.
(00) Vérification
de ses pouvoirs comme membre de la chambre (8/06/1833)
(01) Indemnisation des victimes du bombardement d’Anvers de 1830 (28/06/1833)
(02) Marine
militaire et encouragement à la marine marchande (10/09/1833)
(03) Droits
de sortie des lins (17/09/1833)
(01) Modification à apporter au tarif
général des douanes (10/12/1833)
(02) Tarif sur les sucres (11/12/1833)
(03) Nécessité de maintenir certaines
spécialités de marins (notamment les comptables) sur les navires de la marine,
école de navigation à Ostende (16/01/1834)
(04) Encouragement à l’industrie et au
commerce, notamment à la construction d’une marine marchande, à la statistique
commerciale, à la pêche nationale, etc. (16/01/1834,
20/02/1834, 21/02/1834)
(05) Droits d’entrée sur les mécaniques (27/01/1834, 29/01/1834)
(06) Mise à charge de la commune d’Anvers de
dépenses de l’administration de la douane (03/02/1834)
(07) Transport maritime de
(08) Cours légal de certaines pièces
françaises (07/02/1834)
(09) Dette publique (14/02/1834)
(10) Réorganisation du corps des ponts et chaussées et du mode
d’adjudication des barrières (15/02/1834)
(11) Chemin de fer (en tant que rapporteur)
(17/02/1834, (rapport général) 14/03/1834, 17/03/1834, 24/03/1834, 25/03/1834, 26/03/1834, 27/03/1834, 28/03/1834)
(12) Droits d’entrée et de sortie sur les os
(06/03/1834, 03/07/1834)
(13) Droits sur le lin et les toiles de lin
(20/03/1834, 05/07/1834,
07/07/1834)
(14) Frais d’entretien des enfants trouvés
et abandonnés (05/05/1834)
(15) Organisation provinciale. Greffier
provincial (06/05/1834), dispositions financières
(budget et dépenses obligatoires) (12/05/1834)
(16) Droits d’entrée et de sortie sur les
céréales (03/07/1834, 12/07/1834,
14/07/1834, 15/07/1834,
16/07/1834, 17/07/1834)
(17) Budget du département de la guerre (02/08/1834)
(01) Politique
commerciale du gouvernement (14/11/1834, 27/01/1835), Industrie de la pêche (et notamment de
la pêche de la baleine) et/ou encouragement au commerce maritime (28/01/1835),
émigration des navires vers
(02) Organisation des communes. Receveur communal (06/12/1834, 11/05/1835), commissaire de police et bailli maritime (19/12/1834), police de la voirie (19/02/1835), administration des biens communaux (21/02/1835)
(03) Situation diplomatique générale et nécessité d’une contribution extraordinaire de guerre (17/12/1834, 18/12/1834)
(04) Organisation de la garde civique (30/12/1834)
(05) Budget des affaires étrangères. Remboursement des frais des agents diplomatiques (13/01/1835)
(06) Protection de la marine marchande et constitution d’une marine militaire belge (14/01/1835)
(07) Indemnités en faveur des habitants des polders (26/01/1835)
(08) Chemin de fer et comptabilité publique (26/01/1835), mode d’exploitation du chemin de fer (06/04/1835)
(09) Exercice de la pêche nationale (10/02/1835, 14/02/1835)
(10) Situation de l’industrie cotonnière (20/02/1835)
(11) Naturalisation (04/03/1835)
(12) Frais des chambres de commerce (01/05/1835, 02/05/1835)
(13) Pension militaire (01/05/1835)
(01) Renvoi de pétitions
relatives aux encouragements de la marine marchande (11/09/1835),
aux droits d’entrée sur les bois (09/03/1836),
à la pêche maritime (10/06/1836)
(02) Droits sur les chiffons (24/08/1835, 21/04/1836),
sur les tulles (24/08/1835, 21/04/1836), sur les céréales (exonération) (25/08/1835), sur les os (21/04/1836)
(03) Soutien à l’industrie
cotonnière (notamment mesures protectionnistes) (28/08/1835,
07/09/1835, 10/09/1835,
10/03/1836)
(04) Droits d’entrée et de
transit du bétail hollandais (25/11/1835, 28/11/1835,
02/12/1835, 04/12/1835)
(05) Constructions navales (29/01/1836, 15/03/1836)
(06) Organisation communale.
Dispositions électorales (15/02/1836),
établissements de bienfaisance (18/02/1836,
24/02/1836), actes soumis au contrôle des
autorités de tutelle (19/02/1836, 22/02/1836),
receveur communal (29/02/1836)
(07) Organisation de la douane (18/03/1836)
(08) Service de transport de la
Tête-de-Flandre (19/03/1836)
(09) Concessions de chemin de fer
(21/03/1836)
(10) Fixation de l’ordre du jour
(Canal de Zelzaete et construction de routes) (12/04/1836)
(11) Droits de transit (12/04/1836, 27/05/1836, 28/05/1836, 01/06/1836, 02/06/1836, 03/06/1836, 04/06/1836, 06/06/1836, 09/06/1836)
(12) Construction de routes (20/04/1836)
(13) Organisation du
conseil des mines (30/04/1836)
INTERVENTIONS
AU COURS DE LA SESSION 1836-1837
(01) Renvoi d’une pétition relative à la pêche
nationale (17/05/1837)
(02) Encouragements à la marine marchande et à la
pêche nationale (12/11/1836, 30/11/1836, 07/12/1836, 09/02/1837)
(03) Droits sur les os (03/12/1836, 05/12/1836, 13/04/1837),
sur les grains oléagineuses et les huiles (09/02/1837),
sur les articles de coton, de lin ou de laine (28/04/1837,
01/05/1837, 02/05/1837,
16/05/1837), sur les produits chimiques (05/05/1837), sur le verre (17/05/1837)
(04) Politique commerciale du gouvernement (droits différentiels) (05/12/1836, 06/12/1836, 07/12/1836, 20/04/1837, 26/04/1837)
(05) Réendiguement des polders et convention militaire avec
(06) Naturalisations (05/05/1837)
(00) Vérification de ses pouvoirs comme membre de la
chambre (élection non contestée) (06/10/1837)
(01) Tarif des douanes et politique commerciale du gouvernement. Article
des bas et des bonneteries (19/10/1837, 20/10/1837, 25/10/1837, 09/11/1837), de la chicorée (26/10/1837), des draps de
laine (27/10/1837, 30/10/1837,
31/10/1837, 07/11/1837),
des poteries (09/11/1837), de la faïence (09/11/1837), des produits chimiques (10/11/1837), des
fils de lin (20/03/1838, 24/03/1838, 28/03/1838, 29/03/1838)
et des tulles (16/05/1838)
(02) Budget du département de l’intérieur pour 1838.
Constructions navales (09/12/1837)
(03) Industrie de la pêche (09/12/1837,
02/03/1838)
(04) Impôt sur le sucre (18/12/1837, 22/12/1837, 28/12/1837)
(05) Construction du chemin de fer (02/03/1838)
(06) Droits sur le café. Droits différentiels (14/03/1838)
(07) Budget du département de la guerre pour 1838.
Dépenses arriérées (14/05/1838)
(08) Droits de timbre (17/05/1838)
(01) Encouragement à la pêche nationale (21/12/1838)
(02) Loi relative aux céréales. (29/12/1838)
(03) Tarif des douanes, sur les frontières des
provinces de Luxembourg et de Limbourg. (21/03/1839)
(04) Péage sur l’Escaut et principe des droits
différentiels (16/05/1839)
(01) Impôt sur les boissons
distillées (07/12/1839)
(02) Traitement de
l’ambassadeur belge aux Etats-Unis (17/12/1839)
(03) Modalités de
l’intervention publique en faveur de l’industrie et du commerce (28/01/1840, 29/01/1840,
(11/06/1840 soir)
(04) Droits d’entrée sur
les bois étrangers (13/02/1840, 14/02/1840)
(05) Commission d’enquête
parlementaire sur la situation économique du pays (29/04/1840,
01/05/1840, 14/05/1840)
(01) Mode de nomination des membres des chambres de
commerce (19/11/1840)
(02) Loi sur les céréales (24/11/1840)
(03) Renvoi de pétitions relatives à la loi des
indemnités (26/11/1840, 21/01/1841, 09/03/1841)
(04) Traités de
commerce conclus entre
(05) Loi sur les indemnités (01/12/1840, 23/02/1841)
(06) Exposition industrielle de 1841 (20/01/1841)
(07) Pêche
nationale (21/01/1841)
(08) Loi relative
aux pensions. Pensions des agents diplomatiques
(10/02/1841)
(09) Protection des industries sucrières et travaux de la commission d’enquête
parlementaire sur la situation économique du royaume (25/02/1841)
(10) Budget des
voies et moyens pour l’exercice 1841 (05/03/1841, 06/03/1841). Droit sur les amandes et les fruits (06/03/1841)
(11) Droits sur le café (09/03/1841)
(12) Droit sur le sucre (09/03/1841)
(00) Vérification de ses pouvoirs comme membre de
la chambre (10/11/1841)
(01)
Présentation générale des budgets (12/11/1841)
(02)
Dette publique (20/11/1841, 08/12/1841, (partage de la dette belgo-hollandaise) 07/05/1842, (commission d’amortissement) 07/09/1842)
(03)
Industrie linière et droits sur les lins (04/12/1841,
08/12/1841)
(04)
Equilibre générale des recettes et des dépenses
(04/12/1841, 06/12/1841,
05/03/1842)
(05)
Comptabilité de l’Etat et cour des comptes (06/12/1841,
07/12/1841, 19/04/1842)
(06)
Contribution foncière (07/12/1841)
(07)
Répression de la fraude, tarifs et rendement des douanes (07/12/1841, 11/12/1841, 27/01/1842)
(08)
Amendes liées aux faits de maraudage appliquées aux indigents (07/12/1841)
(09)
Caisse des dépôts et consignations (07/12/1841)
(10)
Loi sur les indemnités (08/12/1841)
(11)
Pensions à charge du trésor public et subvention à la caisse de retraite (08/12/1841)
(12)
Tribunal de commerce de Gand (09/12/1841)
(13)
Qualité du papier timbré (11/12/1841
(14)
Traitements des directeurs provinciaux et des employés du département des
finances (11/12/1841)
(15)
Propension de l’administration des finances à intenter des actions judiciaires
(11/12/1841)
(16)
Contentieux de l’Etat avec les communes de Petit-Rechain
et Dison, reprise des routes par l’Etat (11/12/1841,
19/05/1842)
(17)
Frais de confection des passeports (11/12/1841)
(18)
Remboursement du péage sur l’Escaut (11/12/1841)
(19)
Impôt sur le sucre (28/01/1842, 19/03/1842, 13/04/1842, 22/04/1842)
(20)
Impôt sur le sel (28/01/1842)
(21)
Pêche nationale (31/01/1842)
(22) Navigation transatlantique et acquisition de
(23)
Patente des marchands ambulants (lutte contre le colportage) (26/02/1842, 16/04/1842, 18/04/1842)
(24)
Pétition d’un receveur de Maestricht demandant une indemnité pour la perte
d’une partie de son traitement par suite du traité du 19 avril 1839 (19/03/1842)
(25)
Renouvellement des inscriptions hypothécaires (15/04/1842)
(26)
Impôt sur les distilleries (15/04/1842, 25/04/1842, 27/04/1842, 29/04/1842, 30/04/1842, 02/05/1842, (+ respect du repos dominical) 03/05/1842, 04/05/1842,
(+respect du repos dominical) 06/05/1842, 07/05/1842, (+ respect du repos dominical) 09/05/1842, 10/05/1842)
(27)
Prescription des emprunts de 5, de 12 et de 10 millions de florins (19/04/1842)
(28)
Canal de Zelzaete à la mer du Nord (25/04/1842)
(29)
Droits sur le café (06/05/1842)
(30)
Patente des bateliers (18/05/1842, 20/05/1842)
(31)
Emprunt pour l’achèvement du chemin de fer de l’Etat (17/06/1842,
17/08/1842, 27/08/1842,
06/09/1842)
(32) Loi sur le transit (26/07/1842)
(33) Convention
commerciale signée avec
(34) Interpellation
relative à une propriété du domaine public à Ostende (27/08/1842)
(35)
Achèvement de l’entrepôt d’Anvers (06/09/1842, 07/09/1842, 09/09/1842)
(36)
Canalisation de
(37)
Banque de Belgique et Société générale (07/09/1842)
(38)
Chemin de fer de Jurbise et Tournai (09/09/1842)
(01) Présentation des
projets de loi de budgets des voies et moyens et des dépenses de l’Etat pour
l’exercice 1841 (10/11/1842)
(02) Budget des voies
et moyens/ Equilibre générale entre recettes et dépenses, centimes
additionnels, impôt sur le tabac, zèle abusif des agents de l’administration
fiscale, droit sur le café, droits d’enregistrement, d’hypothèque et de succession,
etc. (30/11/1842, 02/12/1842,
03/12/1842, 05/12/1842,
06/12/1842)
(03) Budget des finances.
Impôt sur le tabac, comptabilité publique, abus de l’administration fiscale,
droits d’entrée et tarifs douaniers, caisse d’amortissement des emprunts (23/12/1842), traitements des fonctionnaires
supérieurs et des receveurs ruraux (23/12/1842),
fabrication de la monnaie d’or (24/12/1842),
traitements des receveurs et rétablissement des leges
(24/12/1842), opérations cadastrales dans le
Limbourg et le Luxembourg (24/12/1842)
(04) Question
politique générale (02/12/1842)
(05) Impôt sur le
sucre (17/11/1842, 01/12/1842,
02/12/1842, 23/12/1842,
14/01/1843, 25/01/1843,
11/02/1843, 14/02/1843,
18/02/1843, 23/02/1843,
24/02/1843, 25/02/1843,
27/02/1843, 01/03/1843,
02/03/1843, 03/03/1843,
06/03/1843, 07/03/1843,
08/03/1843, 09/03/1843,
11/03/1843, 30/03/1843,
01/04/1843)
(06) Tarif des
douanes et/ou politique commerciale du gouvernement (03/12/1842),
commission d’enquête parlementaire sur la situation économique et commerciale
du pays (24/12/1842)
(07) Transit
commercial (10/03/1843)
(08) Organisation et
renforcement du service de la douane, notamment estampille, recherches à
l’intérieur, visites domiciliaires (24/12/1842, 18/01/1843, 24/01/1843, 07/02/1843, 08/02/1843, 09/02/1843, 10/02/1843, 11/02/1843, 13/02/1843, 14/02/1843, 16/02/1843)
(09) Traitement de la
magistrature (03/12/1842, 05/12/1842)
(10) Banque de
Belgique et gestion de la dette publique (06/12/1842,
07/12/1842, 08/12/1842)
(11) Société générale
et caissier de l’Etat (24/12/1842)
(12) Contribution
personnelle et taxe sur les chevaux de luxe (07/12/1842)
(13) Législation et
fraudes électorales (14/12/1842)
(14) Comptabilité de
l’Etat (06/12/1842, 25/01/1843,
27/02/1843)
(15) Péage de
l’Escaut (14/02/1843)
(16) Loi sur la
milice (16/02/1843)
(17) Demande de
décorations honorifiques (16/02/1843)
(18) Impôt sur le sel
(23/03/1843)
(19) Pratiques de
vente à l’encan (29/03/1843)
(00)
Vérification de ses pouvoirs en tant que membre de la
chambre (15/11/1843)
(01) Rapport sur une pétition relative au partage de
la dette belgo-hollandaise (30/11/1843)
(02) Répression de la fraude aux frontières (4/12/1843)
(03) Banque de Belgique et gestion de la dette publique (7/12/1843)
(04) Aliénation de la forêt de Chiny (7/12/1843,
18/01/1844, 19/01/1844, 23/03/1844, 30/04/1844)
(05) Traitements et indemnités du personnel (et
notamment des receveurs) du département des finances (15/01/1844,
16/01/1844
(06) Polder de Lillo (23/03/1844)
(07) Conclusions de la commission d’enquête
parlementaire (commission « de Foere ») et système des droits
différentiels. Politique commerciale du gouvernement. Questions de principe,
base des droits (20/05/1844, 21/05/1844,
23/05/1844), droits sur le sucre (8/06/1844)
(08) Impôt sur le tabac (18/06/1844, 19/06/1844)
(01) Traitements des
commissaires d’arrondissement (07/02/1845)
(02) Droits différentiels (19/04/1845, 21/04/1845)
(03) Loi sur les céréales (07/05/1845)