Accueil
Séances
plénières
Tables
des matières
Biographies
Livres numérisés
Bibliographie
et liens
Note
d’intention
DEDECKER Pierre (1812-1891)
DE
DECKER Pierre, Jacques, François, né en 1812 à Zele, décédé en
1891 à Schaerbeek.
Age en 1830 : 18 ans.
Catholique. Elu par
l'arrondissement de Termonde de 1839 à 1866.
Interventions
sessions : 1839-1840, 1840-1841,
1841-1842, 1842-1843, 1843-1844, 1844-1845, 1845-1846,
1846-1847, 1847-1848
(1848-1866)
(P.
WYNANTS, dans Nouvelle Biographie de Belgique, tome VI, 2001, pages 101-105)
DE DECKER, Pierre, Jacques, François, homme politique catholique et administrateur de
sociétés, né à Zele (Flandre orientale) le 25 janvier 1812, décédé à Schaerbeek
(Bruxelles) le 4 janvier 1891.
Fils d'Englebert De Decker, commerçant aisé dévoué à l'Eglise,
et de Marie-Françoise de Belie, mère de onze enfants,
il fréquente l'école primaire de son village natal. Il mène ses études
secondaires dans différents établissements de Belgique, de France et de Suisse,
avant de suivre le cours de philosophie au Petit Séminaire Sainte-Barbe de
Gand. Gagné aux idées menaisiennes, il embrasse la
cause de la révolution de 1830. Candidat en philosophie et lettres en 1832,
puis en droit l'année suivante, il décroche brillamment un doctorat en droit à
l'Université de Gand, le 8 janvier 1834. Il persévère dans cette discipline
durant quelques mois, à
Il collabore au Journal des Flandres de 1834 à
1840, à
Conseiller provincial de Flandre orientale en
1838-1839, De Decker est député catholique de
l'arrondissement de Termonde de 1839 à 1866. Secrétaire de
La démission du cabinet de Brouckère, le 4 mars
1855, ouvre une crise politique sérieuse. Aucun parti ne dispose d'une majorité
au Parlement. Les libéraux Delfosse et Tesch, puis le
catholique de Theux déclinent la mission de constituer un gouvernement. Avec
l'appui de Léopold Ier, très attaché à une formule unioniste qui confère une
grande influence à la couronne, De Decker parvient à
former un ministère de centre-droit, le 30 mars 1855: l'équipe est à dominante
catholique modérée, mais sa survie dépend des libéraux de la même nuance.
Ministre de l'Intérieur, le chef de file du nouveau gouvernement annonce son
intention de « rechercher la médiation entre les diverses opinions, la
transaction entre les divers intérêts (...) par une politique de bon sens et de
bonne foi ».
Cependant, les conservateurs ne lui ont pas
pardonné de leur avoir tiré dans le dos, en 1846, en assimilant le cabinet de
Theux à un « anachronisme ». Les évêques ultramontains se méfient de tout
esprit de conciliation. L'aile radicale du libéralisme, qui professe un
anticléricalisme virulent, fourbit ses armes: De Decker
n'a-t-il pas plaidé précédemment en faveur de la liberté de la charité et son
ministère ne s'apprête-t-il pas à légiférer en ce domaine?
En fait, le premier défi que le cabinet doit
relever concerne les relations avec
Les intellectuels flamingants nourrissent de
grands espoirs après l'arrivée au pouvoir d'un des leurs: ils attendent des
avancées en matière linguistique. Pendant de longs mois, leur déception est
grande. Finalement, De Decker crée une Vlaemsche Commissie, qui
rechercherait, puis proposerait au gouvernement des mesures susceptibles de
promouvoir la littérature flamande et de régler l'emploi du néerlandais dans
différents secteurs de la vie publique. Son initiative est mal accueillie par
le monde politique, en ce compris par des ministres. Elle n'est tolérée que par
opportunisme: il faut éviter que la célébration du vingt-cinquième anniversaire
de l'Indépendance soit troublée par des voix discordantes, mais il est d'emblée
hors de question d'accepter un profond changement de législation. Créée par
l'arrêté royal du 27 juin 1856 et présidée par Lucien Jottrand,
Avec l'affaire Laurent-Brasseur, le gouvernement
De Decker est rattrapé par les tensions idéologiques
qu'il souhaite apaiser. Tous deux professeurs de droit à l'Université de Gand,
les intéressés sont accusés d'avoir pris à partie des dogmes chrétiens, le
premier dans une publication, le second dans son enseignement. La presse
ultramontaine dénonce les «blasphèmes proférés par des fonctionnaires peu
respectueux des opinions de leurs étudiants ». Invité par des représentants de
Pour faire une concession aux ultramontains sans
se discréditer, le gouvernement adresse à ses commissaires des Universités d'Etat une circulaire spécifiant que les professeurs doivent
s'abstenir de toute attaque directe contre les principes essentiels des cultes
reconnu par la loi, dans leurs cours comme dans leurs publications. Il insiste
auprès du Saint-Siège pour que soit modérée l'ardeur des évêques 1es plus
combatifs. En vain: Rome ne retire pas son appui à la mouvance ultramontaine,
de sorte que la zizanie persiste chez les catholiques. A
la fin novembre 1856, lors d'un débat à
Il l'est davantage encore par les remous que
provoque le projet de loi Nothomb sur les fondations charitables, déposé en
janvier
Aux débats houleux s'ajoutent des manifestations,
qui dégénèrent en émeutes à Bruxelles et dans d'autres villes. Léopold 1er est
furieux: les troubles risquent de ruiner ses rêves unionistes, tout en donnant
une image calamiteuse au pays.
Pour empêcher que son gouvernement perde la face,
il veut accélérer les débats et clôturer ceux-ci au plus tôt. Les leaders de
Pris sous le feu croisé des deux camps, le chef du
cabinet envisage de démissionner, issue que le Roi refuse catégoriquement. Pour
pouvoir retirer le projet Nothomb sans donner l'impression de capituler devant
la rue, il élabore un scénario que le Souverain cautionne par une lettre rendue
publique: la session parlementaire est clôturée; le projet contesté sera retiré
ultérieurement, afin de préserver l'ordre constitutionnel et de redresser le
crédit de
De
Decker croit pouvoir se recycler dans les affaires.
Dès 1859-1860, avec son ami Dechamps et de nombreux hommes politiques, il entre
dans l'orbite d'André Langrand-Dumonceau, promoteur
d'une puissance financière catholique. Selon ses dires, il s'agit d'assurer
l'avenir de sa famille nombreuse, mais aussi d'effacer une perte antérieure.
Toujours est-il qu'il s'enrichit rapidement. Il assume d'importantes
responsabilités dans différentes sociétés du groupe: cofondateur et
administrateur délégué, puis directeur de.
Connu pour sa droiture, il contribue à asseoir la
confiance du public et à faire affluer les capitaux, au point de signer
imprudemment des milliers de lettres de gage émises par deux composantes du
consortium. Pendant plusieurs années, il ne semble pas mesurer l'extrême fragilité
du montage élaboré par Langrand, qui établit une
complète solidarité entre les actifs de ses sociétés, en considérant le tout
comme une caisse unique. Lorsqu'il s'en rend compte, De Decker
s'oppose à ces pratiques, envisage de claquer la porte, puis recule par manque
de fermeté, à défaut aussi d'autre gagne-pain.
Lorsque enfin il prend ses distances, il est trop
tard: Langrand, mais aussi l'opinion publique
rejettent sur lui et sur d'autres administrateurs l'opprobre d'une faillite
frauduleuse, qui laisse un passif d'une soixantaine de millions et ruine des
milliers d'épargnants. L'ancien ministre tente de démontrer sa bonne foi,
arguant qu'il n'était «ni financier, ni jurisconsulte». Il met une part
substantielle de ses biens à la disposition des curateurs et des liquidateurs
des sociétés faillies, perdant du même coup 636.000
francs. Avec d'autres personnalités politiques, il est prévenu de faux et
d'usage de faux dans l'établissement de bilans. Il subit cinquante et un
interrogatoires devant le juge d'instruction, avant d'être renvoyé devant
Entre-temps, De Decker
connaît un nouveau calvaire. Par arrêté royal du 11 octobre 1871, le ministère
d'Anethan le nomme gouverneur de la province de Limbourg. A
ce moment, il est notoirement impliqué dans le scandale Langrand-Dumonceau,
mais il n'est pas encore prévenu. Sur le conseil de Van Praet, Léopold II
semble souhaiter cette nomination, péniblement acquise par le chef du cabinet:
les ministres l'adoptent par trois contre deux. C'est là une maladresse, voire
une faute. La presse doctrinaire ne manque pas l'aubaine. Est-il digne,
écrit-elle, de vouloir réhabiliter «l'ancien agent d'un maltôtier dont les
actes sont soumis aux investigations de la justice», « l'un des principaux
acteurs de la ruine de milliers de familles belges, sacrifiées par lui à un
désir de lucre », ou encore «un déclassé politique »? L'opposition libérale en
profite pour monter en épingle le scandale Langrand-Dumonceau,
afin de mettre le gouvernement en difficulté. Le 22 novembre 1871, une
interpellation de Jules Bara prend la forme d'un réquisitoire implacable, même
si la motion déposée ultérieurement par l'intéressé est repoussée. S'ensuivent
des séances houleuses au Parlement, des manifestations jusque sous les fenêtres
du Palais royal et même des émeutes, durant neuf jours. Le 25 novembre 1871, De
Decker démissionne «dans l'intérêt de nos
institutions, qu'il faut sauver en face d'événements qui en faussent le jeu
Le Souverain, excédé par les troubles, par
l'atonie de ses ministres et par leur refus d’envisager un remaniement, demande
la démission du cabinet d'Anethan, puis révoque celui-ci en décembre. Une
dernière fois, à défendant son corps défendant, De Decker
a été mêlé à un épisode tumultueux de notre histoire politique
En
(00) Commission de vérification
des pouvoirs (23/12/1839, 24/12/1839)
(01) Commission d’enquête
parlementaire sur la situation économique du pays (29/04/1840,
13/05/1840)
(01) Service des prisons
notamment influence de la « philanthropie moderne » et rôle de la
religion (22/12/1840)
(02) Loi sur les pensions. Retenues au profit du trésor et équilibre entre ces recettes et
les dépenses de pensions. Demande d’ajournement de la loi (26/01/1841)
(01)
Navigation transatlantique et acquisition de
(02)
Cession de l’établissement de Meslin-Lévêque (18/12/1841)
(03)
Budget de l’intérieur. Discussion politique (20/12/1841)
(04)
Traitement des agents du département de l’intérieur (notamment divisions du
commerce, de l’industrie, des beaux-arts et/ou de l’instruction publique) (20/12/1841)
(05)
Société d’horticulture de Bruxelles (21/12/1841)
(06)
Encouragements donnés au commerce (notamment à l’industrie cotonnière) et
répression de la fraude (21/12/1841)
(07)
Navigation à vapeur vers les ports de l’Europe (notamment Londres) (22/12/1841)
(08)
Subsides aux établissements d’enseignement moyen et notamment aux
établissements dirigés par le clergé (22/12/1841)
(09)
Indemnités aux professeurs démissionnés en 1830
(23/12/1841)
(10)
Enseignement primaire (23/12/1841)
(11)
Bibliothèque royale et dépôt légal (23/12/1841)
(12)
Bibliothèques des universités (23/12/1841)
(13)
Comptabilité de l’Etat, encouragements aux beaux-arts
et érection de statues aux grands hommes (23/12/1841,
01/02/1842, 02/02/1842)
(14)
Académie des beaux-arts d’Anvers (23/12/1841)
(15)
Académies des beaux-arts (23/12/1841)
(16)
Prime pour construction de navires (02/02/1842)
(17)
Impôt sur les distilleries (30/04/1842, 02/05/1842, (+respect du repos dominical) (03/05/1842, 06/05/1842, 09/05/1842)
(18)
Modifications à la loi communale. Possibilité de nommer le bourgmestre en
dehors du conseil communal (28/05/1842)
(19)
Pétition relative à l’achat de lin sur pied (11/08/1842,
16/08/1842)
(20)
Instruction primaire. Inspection provinciale : interdiction du cumul de
fonctions (18/08/1842), traitement (minimal) des
instituteurs (19/08/1842)
(01) Renvoi d'une pétition relative à l'art de guérir (24/11/1842), à l'impôt sur la bière (03/12/1842)
(02) Convention commerciale avec l'Espagne (28/11/1842,
29/11/1842)
(03) Service de santé et académie royale de médecine (19/12/1842)
(04) Encouragement à l'agriculture (19/12/1842, 20/12/1842)
(05) Culture de la soie et/ou de la garance (19/12/1842, 20/12/1842)
(06) Industrie linière (21/12/1842)
(07) Indemnités pour les inspecteurs ecclésiastiques de l'instruction
primaire (21/12/1842)
(08) Encouragements aux beaux-arts (notamment aux théâtres de Bruxelles,
convention avec la ville de Bruxelles, travaux à faire au Palais de
(09) Etablissement de bureaux de poste (14/01/1843)
(10) Conseil de prud'hommes à Termonde (01/04/1843)
(00) Vérification de ses pouvoirs
en tant que membre de la chambre (15/11/1843)
(01) Renvoi d’une pétition
relative à l’huile des tourteaux (15/01/1844),
à la traduction flamande des lois dans le Bulletin
officiel (31/01/1844)
(02) Question
politique générale (notamment rôle personnel de Jean-Baptiste Nothomb dans la
politique gouvernementale et dans le programme unioniste) (20/01/1844)
(03) Académie
et société de médecine, art de guérir (23/01/1844)
(04) Industrie
linière, enseignement primaire et enseignement industriel (25/01/1844)
(05) Orthographe flamande dans
les écoles primaires et dans le Bulletin officiel (26/01/1844, 30/01/1844, 31/01/1844)
(06) Archives
de l’Etat (27/01/1844)
(07) Conclusions
de la commission d’enquête parlementaire (commission « de Foere ») et
système des droits différentiels (15/05/1844)
(01) Adresse en réponse
au discours du trône (26/10/1844)
(02) Traité de commerce et de navigation conclu avec
le Zollverein. Commerce
des fontes (13/12/1844, 20/12/1844, 21/12/1844)
(03) Circonscriptions
cantonales de
(04) Question politique
générale, anticléricalisme (29/01/1845, 30/01/1845)
(05) Inondations de l’Escaut
et de
INTERVENTIONS
AU COURS DE LA SESSION 1845-1846
(01)
Renvoi d’une pétition relative au commerce des cordages (30/04/1846), aux droits sur le sucre (03/06/1846)
(02)
Projet d’adresse en réponse au discours du trône (14/11/1845).
Discussion politique générale, question de confiance gouvernement et appel à
l’unionisme, formation du nouveau gouvernement, notamment condition posée par
Rogier de pouvoir dissoudre à volonté la chambre (17/11/1845, 19/11/1845), enseignement
universitaire, moyen et primaire (22/11/1845)
(03)
Pratiques de ventes à l’encan, notamment dérogations accordées aux
monts-de-piété (14/03/1846)
(04)
Débat relatif à la formation du nouveau cabinet ministériel. Abandon de la
politique unioniste, formation d’un gouvernement homogène catholique et
antagonisme politique libéraux-catholiques (29/04/1846)
(05)
Personnel des canaux (30/04/1846)
(06)
Ecole de médecine vétérinaire. Proposition de
commission d’enquête (08/05/1846, 16/05/1846)
(07)
Académie royale de Bruxelles (20/05/1846)
(08)
Canal de dérivation de la Lys (29/05/1846, 30/05/1846)
(09)
Projet de chemin de fer entre Gand et Bruxelles (30/05/1846,
03/06/1846, 11/06/1846,
25/06/1846)
(10)
Concession ferroviaire du Luxembourg (08/06/1846)
(11)
Budget du département de l’intérieur pour 1846 (03/07/1846) et du département des travaux publics pour 1846 (04/07/1846)
INTERVENTIONS
AU COURS DE LA SESSION 1846-1847
(01) Renvoi de pétitions relatives aux droits
sur les étoupes de lin (14/12/1846), à
l’organisation du notariat (19/02/1847), à
l’augmentation du nombre de députés et de sénateurs (26/02/1847)
et au projet de chemin de fer entre Bruxelles et Gand (16/04/1847,
21/04/1847)
(02) Rapport sur une pétition relative à certaines
pratiques abusives du service de la douane (12/02/1847)
(03) Adresse en réponse au discours du trône.
Discussion politique générale. Formation et programme du ministère homogène
catholique, divisions et vivacité de l’opinion libérale, défense faite aux
fonctionnaires de faire partie de l’association libérale l’Alliance, influence
du clergé sur la situation sociale dans les Flandres, influence du libéralisme
sur la démoralisation politique (17/11/1846), formation d’un gouvernement homogène,
divisions libérales, contrefaçons littéraires (industrie du livre),
indépendance de l’Etat face à l’influence du clergé (19/11/1846)
(04) Droits sur le lin (09/12/1846,
15/12/1846, 24/12/1846)
(05) Droits sur le sel (19/12/1846)
(06) Budget du département de l’intérieur.
Encouragement à la littérature nationale,
critique d’un ouvrage consacré à l’histoire des croisades (24/12/1846), subsides à l’académie des sciences, des
lettres et des arts (24/12/1846), musée des
armures, archives de l’Etat (24/12/1846)
(07) Législation électorale. Augmentation du
nombre de députés et de sénateurs (08/03/1847, 10/03/1847)
(08) Projet de chemin de fer entre Bruxelles et
Gand (21/04/1847, 22/04/1847,
24/04/1847)
(09) Canal de la Dendre et chemin de fer
d’Alost (06/05/1847)
INTERVENTIONS
AU COURS DE LA SESSION 1847-1848
(00) Vérification de ses pouvoirs comme membre
nouvellement élu (élection non contestée) (11/11/1847)
(01)
Renvoi de pétitions relatives au contrôle des poids et mesures (25/11/1847), à la police rurale (15/12/1847), aux
receveurs-éclusiers (27/01/1848)
(02)
Rapports sur des pétitions relatives à la situation sociale de Flandres, et à
l’insuffisance des forces de l’ordre (23/12/1847)
(03)
Adresse en réponse au discours du trône. Confiance à accorder au nouveau
libéral homogène, incident diplomatique avec le Saint-Siège, destitutions de
fonctionnaires pour raisons politiques, indépendance réciproque de l’Eglise et de l’Etat, liberté de
la presse, réforme électorale, notamment au niveau communal, incompatibilités
parlementaires (16/11/1847),
projet de ligne ferroviaire
entre Bruxelles et Gand (20/11/1847), indépendance réciproque de l’Eglise
et de l’Etat, notamment en matière d’enseignement (20/11/1847)
(04) Port et droit de
timbre des journaux (25/11/1847)
(05) Budget du département
de l’intérieur pour 1848. Mise à l’ordre du jour (04/12/1847), publication des Acta Sanctorum
(18/12/1847),
médecins cantonaux (18/12/1847),
influence du clergé dans
l’organisation de l’enseignement public (20/12/1847)
(06)
Chiffre du budget du département de la guerre, organisation de l’armée (10/12/1847, 30/12/1847)
(07)
Chemin de fer de l’Etat (24/12/1847)
(08)
Budget du département de la justice pour 1848. Droit pour le gouvernement de
refuser un legs fait à une fondation charitable, sécurisation de la charité et
entraves à l’exercice de la charité privée (catholique) (22/01/1848)
(09) Budget
du département des travaux publics pour 1848. Projet de ligne ferroviaire entre
Bruxelles et Gand et chemin de fer concédé de la Dendre (25/01/1848), personnel
du corps des ponts et chaussées (28/01/1848)
(10)
Droits sur le lin (09/02/1848,
25/03/1848, 27/03/1848)
(11)
Prolongation des délais d’exécution de certains projets de concessions
ferroviaires (19/02/1848,
16/05/1848)
(12) Réorganisation des
monts-de-piété (28/02/1848, 09/03/1848, 10/03/1848, 11/03/1848,
13/03/1848, 14/03/1848, 15/03/1848, 16/03/1848, 21/03/1848)
(13)
Organisation des dépôts de mendicité (29/02/1848, 02/03/1848)